Techniques de l'information
Étude de cas : Techniques de l'information. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Zappata • 21 Mai 2018 • Étude de cas • 1 148 Mots (5 Pages) • 617 Vues
TECHNIQUES DE L’INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION PROFESSIONNELLE
DEVOIR N°1
EXERCICE 1 :
FREINS ET LIMITES DANS NOTRE INTENTION DE « BIEN COMMUNIQUER »
Eléments relevés dans le texte de Jean-François DORTIER (Question 1) | Explications (Question 1) | Quelques éléments de solutions (Question 2) | Principes de Jean-François DORTIER (Question 3) |
« L'asymétrie des interlocuteurs » | Il n’y a pas « un véritable dialogue égalitaire » lorsque la position des deux interlocuteurs n’est pas égalitaire : « situation hiérarchique, temps de parole, aisance dans l’expression » et il faudrait également « que l’information circule dans les deux sens ». | - s’entrainer à communiquer en utilisant le vocabulaire adéquat, une gestuelle attrayante, un ton efficace (être crédible) - capter l’attention de ses interlocuteurs en les incluant dans un débat, les faire participer - trouver des centres d’intérêts communs et/ou créer une relation de confiance - privilégier une ambiance au calme dans un cadre formel (ex : salle de réunions) - s’assurer que le récepteur ai bien compris le message | Jean-François DORTIER évoque 3 principes : 1 - « la clarté du message » : Il donne quelques conseils pour « produire un message clair » ; il faut privilégier « les phrases courtes », « un vocabulaire riche et imagé », utiliser « des exemples vivants et des illustrations ». 2 - « la prise en compte des intérêts et des attitudes du récepteur » : Il faut « savoir ajuster son discours » en fonction des centres d’intérêts des interlocuteurs et « limiter son propos ». 3 - « la qualité de la relation établie » : « Le feed-back est un moyen de pouvoir contrôler si un message a été compris ». D’autres techniques peuvent améliorer la communication : « entretien, réunion, ». |
« Les enjeux implicites de la communication » | La communication peut servir à « défendre une image de soi », « à influencer », « marquer son territoire » et pouvons donc distinguer quatre types d’enjeux : ceux « liés à l’identité de chacun », « territoriaux », « relationnels » et les « enjeux d’influence ». | ||
« Les messages sont souvent ambigus » | Il n’est pas forcément facile de « formuler des messages clairs et explicites », d’autant plus qu’il existe une « pluralité des significations d’un même mot », qui rend les choses encore plus difficiles. | ||
« Le récepteur n'est pas passif » | Il arrive que « l’attention » du récepteur soit détournée car ce dernier « décroche toujours à un moment » soit parce que « les centres d’intérêts » divergent, soit des « préoccupations » perturbent son attention. Le récepteur « filtre, décode, sélectionne, réinterprète l’information reçue ». |
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