La Révolution française en 1789
Commentaire de texte : La Révolution française en 1789. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar gaston • 24 Février 2015 • Commentaire de texte • 782 Mots (4 Pages) • 643 Vues
Jusqu'à la révolution Française en 1789, les rois pouvaient imposer des limites vestimentaires aux populations en fonction de leur catégorie sociale afin de maintenir visble la hiérarchie sociale. Mais ceci n'exclut pas l'existence de la mode. La mode désigne donc une manière de se vêtir conformément aux tendances d'une époque dans une région donnnée. La mode concerne non seulement le vêtement, mais aussi le maquillage, le parfum et même a l'extreme les modifications corporelles. Ainsi, le XXe siècles est le théatre de la naissance de plusieurs styles vestimentaires du style mystérieux au style "fashion victim" en passant par le style chic et sexy dans les années 1960 avec la naissance de la mini-jupe, preuve de "l'émancipation" de la femme juste apres leur obtention du droit de vote.
Les années 1960 marquent l’essor du prêt-à-porter malgré que le terme soit apparu pourla première fois en 1947. Pour la soirée, la silhouette féminine se définit encore par une taille de guêpe et une jupe ou une robe longue, s’arrêtant au-dessous des genoux ou une robe longue.
En tenue de ville, les jupes vont progressivement remonter sur les jambes pour passer de dessous le genou au début de la décennie à la minijupe en fin de décennie, favorisant le port des collants.
Les vestes ou les cardigans sont simplement formés bord à bord sans moyen de fixation ou alors par un unique bouton près du col. Les manches sont longues et collantes. Les motifs notamment à pois, pièce et rayures sont en vogue.
Les accessoires essentiels sont le chapeau en forme de toque, le bandeau ou le foulard dans les cheveux et des lunettes fantaisies voire futuristes. Les bijoux sont multicolores et en plastique.
Les bottes sont également à la mode. Bouleversement radical à partir de 1965 : le talon aiguille galbé cède la place au talon droit et carré, haut et plat.
Les femmes se sentent libérées. Elles incarnent la libération sexuelle apportée par la pilule (apparue vers 1950 au mexique), car les femmes mariées, ayant plusieurs enfants, pratiquaient de plus en plus l’avortement, manifestant ainsi leur ferme volonté de limiter la taille de la famille. A tel point que l'on a pu parler de "féminisme volontaire", alors que le féminisme organisé, très prude demeurait assez muet à ce sujet. Seule une minorité, comme Marie Huot, Nelle Roussel, et Jeanne Humbert, ne se voulait pas féministe, mena une campagne pour la "grêve des ventes" pour une limitation volontaire des naissances. Les lois représsives de 1920, contre la propagande contraceptive et de 1930 criminisation de l'avortement accrurent la répression, sans que les féministes, accordant priorité au droit de vote, protestent ouvertement le développement du birth contrôl du planing familial qui à partir des années 1950, se fera dans une clandestinité de plus en plus subversive et assumée qui aboutit, avec l'apparition de la pillule en France en 1964, à la loi Neuwirth legalisant la contraception en 1967. Restait alors le scandale de l'avortemnt dans le MLF en 1970, éclat plaçant l'autonomie du corps des femmes au coeur de son action, affirmant qu'il n'était pas la propriété ni du mâle, ni de l'état.Militant dans leurs mouvement féministes, les
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