COM 5000 exam mi-session

Question 1

L’école fonctionnaliste conceptualise la structure organisationnelle en distribuant les rôles ou les actions des individus dans des propriétés fixes comme les niveaux, les départements et les frontières. Tandis que l’école interprétative est d’abord un modèle de recherche « alternatif » puisqu’elle se concentre sur l’étude des significations. Elle implique aussi une interrogation également sur la source, la nature et la méthodologie pour l’investigation de la vie organisationnelle.

Question 2

L’approche mécaniste perçoit la communication humaine comme un processus de transmission dans lequel un message voyage dans un canal d’un point l’autre. Elle véhicule quatre postulats fondamentaux, soit la quasi-causalité qui s’explique par une vision linéaire du processus communicationnel. La transitivité des fonctions de communication qui signifie que les concepts communicationnels sont liés dans une chaîne de relations. La perspective mécaniste traite de la communication comme d’une entité matérielle, c’est-à-dire qu’un message devient une substance concrète ayant des propriétés spatiales et temporelles. Et finalement, le réductionniste qui implique que les concepts sont mieux compris si on réduit le tout en petites parties, et ce, en identifiant et en mesurant lesdites parties afin de vérifier la chaîne causale linéaire qui les relie.

Quant à l’approche institutionnelle, elle s’explique par l’ensemble des processus par lesquels les obligations ou les actualités en viennent à prendre le statut de règle dans la pensée et l’action sociale. L’institutionnalisation apporte une compréhension commune des comportements qui sont appropriés et significatifs dans une organisation et postule que les organisations se conforment aux attentes de l’environnement en s’adaptant à des structures et à des comportements appropriés et rationnels.

Question 3

La communication organisationnelle a été créée en réponse aux problèmes de communication entre gestionnaires et employés. Elle a été influencée par des disciplines dont les intérêts premiers n’étaient pas ordre communicationnel telles les sciences sociales ou administratives et du management. Dans les années de cristallisation, des chercheurs et des directeurs de programmes ont convergé vers l’idée centrale de créer un nouveau champ d’études avec un potentiel authentique de recherche afin de reconnaître lesdits problèmes comme un domaine d’étude en soi. La création, en 1950, de la National Society for the Study of Communication, fut l’un des évènements les plus importants, car l’objectif premier de cette société était d’enseigner les cours de base en communication et d’analyser la communication dans les affaires et l’industrie. S’en est suivie d’une tendance marquée à vouloir appuyer toutes les recherches théoriques et méthodologiques de données empiriques « objectives » et les auteurs en communication organisationnelle avaient le souci de donner une crédibilité « scientifique » aux énoncés théoriques.

Fait important aussi : le niveau de productivité supérieur du Japon dont les avantages concurrentiels, soit les effets majeurs de la culture sur les organisations de travail, a créé une surprise chez les Occidentaux. Il a donc été question de transférer les recettes japonaises dans les entreprises d’ici et de redéfinir les liens traditionnels entre la structure fonctionnelle de production de l’entreprise et les multiples flux et réseaux de communication pour activer cette structure de manière optimale. La polyvalence de ces technologies de même que leur grande capacité de traitement de l’information conditionnent de nouvelles structures organisationnelles, de nouveaux styles de gestion, de nouvelles compétences, bref, une nouvelle manière de concevoir l’organisation du travail. La communication organisationnelle comme discipline trouvait donc un terrain socio-économico-politique des plus favorables à sa reconnaissance et à son expansion.

Question 4

La première fonction de la communication de L’esprit du temps porte sur la production, soit sur le travail à faire, celui qui doit être accompli et les problèmes sur le plan de travail en faisant la détection et la correction des erreurs.

La deuxième fonction est l’innovation, soit celle par qui la communication suscite des idées nouvelles sur l’accomplissement du travail, qui encourage de nouvelles politiques et nouvelles procédures qui amélioreront le fonctionnement global de l’organisation.

La troisième fonction se rapporte au maintien et à l’amélioration de l’estime de soi des individus, la qualité des relations interpersonnelles ou l’esprit de loyauté envers l’organisation.

Question 5

Quoiqu’au départ, elle ressemblait à l’école des relations humaines, à mon avis, L’esprit du temps s’apparente à la théorie du comportement administratif de Simon, car l’essence de l’organisation réside dans la distribution et l’allocation de la prise de décision.

Le degré de flexibilité de la structure communicationnelle est un peu flexible. La direction du courant des messages semble être descendante. L’initiative de l’envoi des messages laisse supposer qu’ils sont surtout imposés par le sommet de la hiérarchie organisationnelle et la quantité de traitement réservée aux activités communicationnelles est restreinte.

Question 6

La communication et l’organisation sont un couple inséparable et cette affirmation suppose que les liens entre les

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