Beethoven
Mémoire : Beethoven. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar noisettequipue • 11 Avril 2014 • 580 Mots (3 Pages) • 850 Vues
Sommaire
I. Biographie
II. Son œuvre
III. La 7ème symphonie
IV. Quelques citations…
V. Conclusion
I. Biographie
Né à Bonn, en 1770 Beethoven grandit dans un environnement stimulant, bien que pas toujours heureux. Les signes précoces de son talent musical furent exploités de façon assez rude par son père, chanteur dans la chapelle de la cour de Cologne. Il effectua au printemps 1787 un bref voyage à Vienne, où il rencontra Mozart.
En novembre 1792, Beethoven se rend une nouvelle fois à Vienne pour y étudier avec Joseph Haydn. Il s'imposa, notamment dans les milieux aristocratiques, par ses exécutions et ses improvisations au piano, composant beaucoup pour cet instrument (sonates et concertos). Sa première symphonie ne fut jouée qu'en 1800. Les œuvres composées ensuite, dans les premières années du XIXe siècle, montrent qu'il avait parfaitement assimilé le style classique viennois.
Malgré sa gloire naissante, la surdité croissante (qu'il avait remarquée pour la première fois en 1789) suscita chez lui un sentiment d'isolement social de plus en plus fort. À l'automne de 1802, il rédigea son célèbre Testament de Heiligenstadt. Beethoven atteignit le sommet de sa gloire vers 1814. Après la mort de son frère cadet en 1815, il mit toute son énergie pour obtenir la tutelle de son neveu Karl, né en 1806.
Devenu totalement sourd vers 1818, Beethoven communiqua dans ses dernières années au moyen de ses Carnets de conversation sur lesquels les visiteurs écrivaient ce qu'ils avaient à dire, lui-même répondant oralement. Mais son «ami et confident» Anton Schindler n'hésita pas à falsifier certains passages des Carnets. Dans les années 1820, la gloire de Rossini porta ombrage à celle de Beethoven. La création de la Neuvième Symphonie en mai 1824 n'en fut pas moins un grand triomphe personnel. Beethoven mourut à Vienne, et plusieurs milliers de personnes suivirent son convoi funéraire.
II. Son œuvre
À sa mort, en 1827, Beethoven laissait une œuvre considérable. Elle compte en effet pas moins de neuf symphonies, sept concertos (un pour piano, un pour violon et un triple concerto pour piano, violon et violoncelle), trente-deux sonates pour pianos, seize quatuors à cordes, dix sonates pour piano et violon, cinq sonates pour piano et violoncelle, un opéra (Fidelio), de nombreuses séries de variations pour piano (dont les variations de Diabelli, etc.
Il mena à son terme le style classique de Haydn et de Mozart, mais avec une exaltation des sentiments personnels inconnue avant lui et qui le fit qualifier de romantique.
Dans ses premières années viennoises, Beethoven oscilla entre la tentation mondaine et la poursuite des idéaux de Haydn et de Mozart. Les grandes œuvres
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