Le Thatre, La Tragedie, Violence Envers L'auditeur
Compte Rendu : Le Thatre, La Tragedie, Violence Envers L'auditeur. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Dissertenmousse • 10 Mars 2012 • 442 Mots (2 Pages) • 1 185 Vues
These
- Prologue : Insiste sur la fin et la mort « Fatal amour » « que seule peut apaiser la mort de leur enfants »
- Pour le spectateur, il y a conscience de la fatalité
- Theramene : Un dieu […] / Sans s'armer d'un courage inutile + C'est thesee qui a demandé a ce que le gars meure
Antithese
- Les personnages sont en constante lutte, serie d'échecs
> Desespoir de s'en sortir allant jusqu'au suicide ou folie
- Pitié du spectateur
- Présence de passages plus legers pour soulager le spectateur
- Longue description morbide, insistant sur le caractere terrible de la mort d'H., faisant naitre horreur ? Pitié ? Effroi ? chez le spectateur
- Dilemme de bérenice, difficulté des choix, idée de « chemins », de carrefour dans sa vie ?
- « Par d'anciennes rancunes a des rixes nouvelles » = possibilité de durer dans le temps, pas de répit
T'entends
« Si un homme était portier à la porte de l’enfer, il en deviendrait vieux à tourner la clé ». A chaque coup, le portier fait une hypothèse : un fermier qui s’est pendu voyant arriver l’abondance et qui aura à transpirer, le Double-Joueur qui pourrait jouer sur deux plateaux, un tailleur anglais envoyé ici pour avoir resquillé (68) une culotte française.
Des personnages de rang noble sont impuissants face aux forces supérieures (des dieux le plus souvent) qui les manipulent. L’enchaînement des événements et le dénouement nécessairement dramatique relèvent d’une fatalité implacable, qui peut sembler injuste, inique et bien au-delà de l’endurance humaine.
La tragédie touche donc le public par la terreur et la pitié (φόβος και έλεος) qu’elle fait naître (dans le cas d’Œdipe, personnage incestueux et parricide). Cela en fait un genre à portée édifiante. Pour Aristote4 la tragédie a une vocation didactique, c’est-à-dire qu’elle vise à enseigner une vérité morale ou métaphysique au public. On appelle cela la catharsis, grâce à laquelle l’âme du spectateur serait purifiée de ses passions excessives.
La tragédie commence par un prologue (ο προλογος) dans lequel un ou deux acteurs exposent la situation et où la présentation des personnages est faite.
Le chœur entre alors en scène ; c’est la parodos (ο παροδος). Il prend place dans l’orchestra qu’il ne quittera plus jusqu’à la fin.
On a ensuite une alternance de dialogues entre deux ou trois acteurs : les épisodes (οι επεισοδοι) et de parties chorales chantées, les stasima (τα στασιμα). Il y avait en général trois ou quatre épisodes et stasima.
La dernière partie s’appelle l’exodos (η εξοδος). Le chœur quitte alors le théâtre.
La littérature grecque a trois grands auteurs de tragédie : Eschyle, Sophocle et Euripide. Le théâtre romain ne semble
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