La soumission à l'autorité au XVIIIe siècle
Cours : La soumission à l'autorité au XVIIIe siècle. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar loulou738 • 11 Décembre 2012 • Cours • 1 076 Mots (5 Pages) • 939 Vues
Jean-Jacques Rousseau (suite)
Film L’expérience: www.prisonexp.org
État de nature:
Celui qui a naturellement le pouvoir veut le maintenir.
Les gardiens savent très bien que c’est une expérience. Ils font leur quart et rentre chez eux le soir.
Soumission à l’autorité
Stanley Milgram : capacité de mémorisation d’une personne sous traumatisme (décharge électrique dosée)
Déresponsabilitsation
Eichmann : Criminel de guerre Nazi
1- Présentation de la situation politique et sociale du 18e siècle :
• Analyse du contexte social (Révolution) → Fichier sur LÉA
• Réflexion de rousseau sur son époque
Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les humains
Note IX p.35-36 du cahier de textes
Note IX :
§1 : Est-ce que les sciences et les arts = Bonheur de l’humanité?
Réponse de Rousseau : Non
§2 : Les hommes sont méchants, cependant ils sont naturellement bons. Dans une mauvaise société, les hommes deviennent méchants. « L’homme naît bon, la société (mauvaise) le corrompt. » L’homme naît bon, une bonne société maintient cette bonté. Rousseau met en lumière le reste capital joué par la société. Une mauvaise société a des effets pervers (aller dans le sens contraire de ce que ça devrait être).
→ Elle pousse les humains à s’entrehaïr selon leurs intérêts.
→ Elle pousse à devenir hypocrite.
→ On utilise notre raison contre le bien-être de la société.
→ Le malheur des uns fait le bonheur des autres.
→ On est ennemis par devoir et fourbes par intérêt.
→ On gagne plus à nuire aux autres qu’à les aider.
Pour ceux qui trichent → tenter de ne pas se faire prendre (impunité)
§3 : Comparaison entre l’homme sauvage (à l’état de nature) et l’homme civilisé (mauvaise société)
Homme civilisé : Il est animé par une pulsion toute naturelle = Le désir
Toutefois, dans une société pervertie, le désir devient exacerbé.
Nécessaire → Superflu → Les Délices → Immenses richesses → Sujets → Esclaves
Rousseau accepte les écarts de richesses entre les gens (ce n’est pas un communisme)
2- L’état de nature : 2 visions : Hobbes (17e siècle) et Rousseau (18e siècle)
A- L’état de nature selon Hobbes :
Texte du Léviathan (p.31)
Il est le ‘premier’ à parler de l’état de nature, l’état dans lequel se trouve l’être humain lorsqu’il n’est pas influencé par la société.
État = les caractéristiques fondamentales de l’être humain.
3 aspects dans le texte :
1. Description de l’état de nature
B- L’état de nature selon Rousseau
Pour définir la nature selon l’être humain, Rousseau compare l’être humain à l’animal. (p.33)
Animal → machine + sensation → vision mécaniste + reconnaître une intelligence → Soumission aux instincts (à la nature) → instincts = pulsion + savoir-faire → idées – intelliegence
Humain → machine + sensation → Il possède la liberté (caractéristique #1) → L’humain a des pulsions, mais il ne possède pas de savoir-faire → Pulsion de vie et de mort (agressivité, libido, etc.) → intelligence plus développée
§4 – Perfectibilité (caractéristique #2 en importance) : La possibilité de changer pour le meilleur et le pire. Elle est à la fois individuelle et collective (ex. : quelqu’un peut s’auto-détruire OU la société va mal, mais il y a des gens qui sont en train de devenir exceptionels)
D’autres caractéristiques :
- L’humain est animé par 2 sentiments :
1- Amour de soi : ergocentrisme
2-
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