Le mouvement romantique
Cours : Le mouvement romantique. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Lea Marzeliere • 8 Février 2017 • Cours • 536 Mots (3 Pages) • 746 Vues
Art contemporain
24/01/2017
Le romantisme
Quand David construit le néo-classicisme il s’inscrit dans des règles fabriquées pour le pouvoir qui indiquent la valeur du marché de l’art. CPDT maintenant c’est l’artiste qui créé sa propre valeur. Situation éco qui tend à se transformer etc. REVOIR CONTEXTE POLITIQUE (et artistique)
Angleterre très ouverte, qui a un terreau de la littérature fantastique, qui est fascinée par son histoire médiévale : cette peinture romantique va d’abord apparaitre en Angleterre. Le contexte pol est la succession des régimes. La notion d’individu est réévaluée à chaque nouveau régime. Le mouvement romantique est très hétéroclite. D’une manière générale ce qui les fédère c’est que c’est une peinture qui permet le rêve, le rêve remplace le réel. On va explorer la psyché humaine, on explore comment se forment les émotions dans l’esprit d’un homme. On s’intéresse à ce qui est hors de la raison et ce qui est avant le langage. C’est un mvmt qui s’oppose aux Lumières européens. Se rendent compte que même un esprit cultivé peut faire des choses mauvaises, au XXème siècle par exemple= WWI. Il faut assumer les pulsions, les révéler, si on veut les maitriser. La peinture va mettre en place la catharsis. Il y a une remise en cause de la hiérarchie des ordres. Du pdv des techniques on a une évolution avec des compositions dynamiques et une explosion des couleurs. On va considérer que la gravure est d’un niveau égal à la peinture.
31/01/2017
Novalis : brouillon général. Les premiers travaux viennent des Lumières avec Herber (histoire de..), l’histoire serait le récit continu de l’humanité mais sans que des périodes soient mises en avant. De la même manière que ttes les périodes sont relatives, pour juger une période, il faut penser en ses termes. En peinture, pas de sujet déterminant, ce qui compte c’est la manière de traiter tel ou tel sujet. En philo, l’esthétique qui ne se concentre pas sur l’histoire mais sur le concept de beau.
Burke : Recherche philo sur l’origine de nos idées du sublime et du beau (1867). Pour Burke il s’agit de dvp les notions d’infini et de terreur. Pour Burke cette puissance de l’infini nous met face à face avec Dieu. Cette pensée sera reprise par Kant dans sa Critique de la faculté de juger. Chez Kant notion que l’homme se caractérise par sa petitesse par rapport à la Création. Ces deux notions seront reprises par Diderot qui va les démocratiser grâce à l’Encyclopédie. Il fait une ouverte sur le terme même de Sublime. Pour lui le sublime c’est ce qui échappe aux règles classiques de la beauté. On retrouve cela chez Delacroix (violence), Friedrich (infini), Goya (folie), Turner (sublime de la couleur). Cette philo s’accompagne d’une muséographie. Dans les années 1790, création du musée des monuments français par Alexandre Renoir qui a voulu défendre certains édifices religieux pendant la période révolutionnaire. Ce musée est situé aujourd’hui aux Beaux-arts. Il va loger les tombeaux qu’il a pu sauver dans une ancienne abbaye.
Du pdv littéraire, Dante et Shakespeare laissent une place au rêve et à la violence, Shelley et Stoker pour le fantastique et la terreur. Moment où dans un récit littéraire le héros se retrouve dépassé par ce qui lui arrive.
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