Histoire bohbakar

Démarches et dispositifs mis en place visant à rendre les

collaborateurs pleinement acteurs de leur organisation.

Ä Qu’est ce qui suscite chez un individu, un sentiment

d’appartenance à une organisation ?

Ä Quelles sont les valeurs et la culture de l’organisation ?

Ä Les stéréotypes professionnels dans tel secteur d’activité/

métiers ou organisation

Ä L’autorité (style de management) et le Démarches et dispositifs mis en place visant à rendre les

collaborateurs pleinement acteurs de leur organisation.

Ä Qu’est ce qui suscite chez un individu, un sentiment

d’appartenance à une organisation ?

Ä Quelles sont les valeurs et la culture de l’organisation ?

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métiers ou organisation

promeneur, le poète s’arrache peu à peu de la ville de Paris vers les banlieues tristes. Effectivement Le mot « étouffant » du premier vers montre que la ville de Paris empêche l’auteur de respirer librement et au vers 2 « Et moi, noir promeneur qu’évitent les enfants » montre qu’il cherche la tranquillité ou bien même la solitude qu’il ne trouve pas dans la ville de Paris, le vers 9 « Au-dessus des enclos les tilleuls sentent bon » accompagne cette idée de solitude et tranquillité et « Au-dessus des enclos » montre aussi un obstacle avec les tilleuls et indirectement avec la tranquillité qu’il pourrait trouver dans les banlieues. Cette progression de la ville de Paris vers les banlieues est donc bien présente dans la première strophe de plus le vers 3 « Qui fuis la joie et fais, en flânant, bien des lieux » le mot « flânant » montre qu’il ne se promène pas dans une direction précise puisque pour lui flâner suffi à fuir la ville

Dans un second temps, le poète semble être à la recherche de la solitude, à vivre autrement qu’en communauté. En effet, dans le vers 4 « je m’en fais » prouve bien cette quête a la solitude, de plus certains passages du poème montrent qu’il à bien trouver cette solitude comme au vers 7 « le pied sonne » montre qu’il est tout seul et que c’est bien un endroit désert, le vers 9 « Où je suis presque sûr de ne croiser personne » montre aussi qu’il est coupé du monde et sans population, le poète est donc bien caractérisé comme quelqu’un de solitaire.

Pour cette deuxième partie le poète décrit la plupart des lieux où il se rend et des faubourgs de Paris, il y a une description des faubourgs de Paris, par exemple au vers 4 « triste banlieue » où « je prends quelques ruelles où pousse le gazon » au vers 5. Il continue son escapade jusqu’à atteindre des endroits qu’il apprécie, mais ce n’est

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