Analyse de la fresque de Giotto Di Boudonne
Commentaire d'oeuvre : Analyse de la fresque de Giotto Di Boudonne. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar nd2000 • 14 Avril 2017 • Commentaire d'oeuvre • 372 Mots (2 Pages) • 1 704 Vues
Fresque de Giotto Di Boudone
Le document à analyser correspond à une partie de l’œuvre « Le Jugement dernier » une fresque exposé à la chapelle Scrovegny et réalisé en 1306 par Giotto di Bondone, un peintre, sculpteur et architecte italiens, ses œuvres sont à l’ origine du renouveau de la peinture occidentale et dont l’influence provoque un vaste mouvement général de la Renaissance.
Dans la partie de la mosaïque proposée le personnage central domine, celui du gros singe qui semble être Satan et qui parait invincible. Autour de lui se trouve des créatures soumises à ce diables et qui torture les damnés. En arrière-plan une sorte de grand serpent vert, en référence à la légende d’Adam et Eve, est prêt à dévorer les humains qui n’ont aucune échappatoire et qui sont en position de faiblesse parce qu’ils sont plus petit, plus faibles, nus et dispersés. Ensuite, on remarque que différents châtiment sont représenté en effet les humains ont le choix entre être : brulés, mangé, décapité, pendu, poignardé… pour ce qui est des couleurs elles sont multiples ce qui fait de ce tableau une œuvre imposante. Les couleurs s’opposent : les créatures du mal bleu, vert… (couleur froide) et les humain en beige rouge…(couleur chaude) cette opposition renforce la position inférieur des humains.
Cependant, giotto fais passer un message religieux sévère. La représentation d’une scène effrayante et chaotique permet de guider les hommes dans leur religion et surtout de leur faire peur. Ainsi, les gens sont encouragé à rester sur le droit chemin à la recherche du salut. De plus cette œuvre est iconographique et donc est plus accessible, compréhensible par tous et touche toute la population. Ainsi l’artiste incite le peuple à ne pas pécher pour accéder au paradis après la mort. Alors l’influence de l’Eglise n’est pas négligeable. La religion éduque le peuple, l’enseigne, l’encadre et quelque part le contrôle
En termes de conclusion, cette œuvre correspond à une représentation exagéré du jugement dernier qui a pour but de terroriser et ainsi de recadrer les populations : une éducation par la peur. Aussi, cela nous permet de comprendre l’influence de l’Eglise aux XIXème siècles.
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