Sinopses Poumon Vert tapis rouge

POUMON VERT, TAPIS ROUGE.

BENITEZ GONZALEZ Jessica Edith

BREF : Un film sur la réalisation d’un film. En l’espace d’une heure et demi Luc Marescot nous a raconté les défis auxquels il a dû affronter pour modeler son nouveau projet : Un blockbuster en faveur de l’environnement.  Inspiré par les investigations et la passion de Francis Hallé pour la conservation des forêts primaires, le réalisateur a décidé virer la direction de son travail en produisant un film commercial qu’ait un impact plus profond dans la société. Au cours du métrage, on peut observer comment Luc Marescot a développé dès début l’histoire de « Le botaniste », un type de superhéros passionné pour l’environnement (évidement se basant sur Francis Hallé) qui cherche arrêter la déforestation ; il s’agit d’un thriller environnemental très innovant qui se déroule au cœur du forêt tropical, sur les canopées. Poumon vert, tapis rouge, nous montre que passer d’un scénario au « Big screen » est un route sinueuse plein de hauts et de bas pour la quelle on doit être préparé pour écouter presque toujours les mots « non » et « ç’est pas possible ». Néanmoins, est un film qui déborde de persévérance et que montre au personnage principal (le même réalisateur) décidé pour accomplir sa mission malgré tout : utiliser leurs outils pour aboutir à un changement, même s’il est à petite échelle.

Malgré le final inconcluant du film, j’ai trouvé très inspirant la persévérance et l’attitude du réalisateur tout à longue du parcours, pendant la discussion à la fin du film inclus.  Je pense qu’est un métrage qui montre une réalité sur le monde dans lequel on vit :  il plasme en vidéo les ravages que l'on doit subir pour atteindre un objectif, contrairement aux contes de fées où l'on ne voit que des fins heureuses.

En plus, j’ai beaucoup aimé les scènes dans la forêt, notamment celles où Luc Marescot et Francis Hallé survolent la forêt dans un dirigeable et flottent dans un filet, j'ai trouvé cela vraiment impressionnant et intriguant.

Pour conclure, j’espère un jour pouvoir regarder « Le botaniste » au cinéma et profiter de ce projet vraiment intéressant, même si Leo Dicaprio ne joue pas le rôle principal.

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