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SHU, Wang. Wang Shu : construire un monde différent conforme aux principes de la nature.

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Par   •  11 Mai 2022  •  Fiche de lecture  •  636 Mots (3 Pages)  •  420 Vues

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FICHE DE LECTURE

SHU, Wang. Wang Shu : construire un monde différent conforme aux principes de la nature. Paris : Éditions des Cendres, 2012, 128

AUTEUR : Wang Shu

Wang Shu est un architecte chinois contemporain. Avec sa femme Lu Wenyu ils ont fondé l'agence Amateur architecture Studio en 1997. En opposition à une architecture moderne et classique, Wang Shu et sa femme utilisent un procédé basé sur la critique de l’architecture, sur l’inventivité. Une véritable attention au contexte spécifique de chaque projet. Son travail est salué en 2012 par le prix Pritzker, la distinction la plus prestigieuse pour un architecte vivant.

Objet du livre :

Depuis 2003, l’École de Chaillot, département formation de la Cité de l’architecture et du patrimoine, invite un architecte à évoquer la place de l’histoire et du patrimoine dans son processus de conception. La leçon inaugurale de Wang Shu est la neuvième du nom.

Construction du Livre :

AVANT-PROPOS

Wang Shu & Lu Wenyu p. 10

Construire un monde différent

conforme aux principes de la nature p. 13

UN AUTRE REGARD

L'état actuel des villes p. 17

Hangzhou p. 18

Un modèle qui s'est perdu p. 24

L'état actuel des campagnes p. 25

En Chine, la poésie régnait dans les villes

comme dans les campagnes p. 26

Nature et "principe de nature" p. 27

Le regard méditatif p. 29

Étendue du regard p. 30

Ces peintures sont des

dessins d'architectes p. 31

Hauteur du regard p. 32

Le regard et la promenade p. 33

Que regarder, que méditer ? p. 34

Le temps du regard p. 38

La peinture et la contemplation p. 41

RESUME :

Avant-Propos :

L’avant-propos est une présentation de Wang Shu et de sa femme, ainsi que de leur architecture illustrant un souci permanent des relations entre l’édifice, le paysage et la nature. Une architecture à laquelle ils accordent une importance aux traditions.

Un autre regard :

Dans cette partie, Wang Shu prend l’exemple de la ville d’Hangzhou, ville typique chinoise pour ses paysages et lacs. Malheureusement l’architecture traditionnelle se perd et laisse place à une ville en croissance copiant des modèles de villes modernes au Japon ou encore à Dubaï.

La population augmente, les villes s’agrandissent et les campagnes sont délaissées.

L’ambiance change avec la perte de l’ancienne architecture, la poésie ainsi que les peintures inspirées de l’architecture traditionnelle disparaissent.

L’architecture chinoise commence avec des peintures, où l’emplacement des arbres, des maisons et le reste sont parfaitement réfléchis et représentés.

La peinture est l’architecture qui inspire Wang Shu. Il montre que selon comment l’on regarde une peinture plusieurs interprétations de l’architecture apparaissent.

Poétique de la construction :

Dans cette seconde partie il explique ses choix face aux développements modernes (que beaucoup trouvent insurmontables ou préfèrent éviter), un travail philosophique mais aussi accès sur l’artisanat. Il explique son intérêt à travailler à partir des ruines, plutôt qu’ailleurs.

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