Le Corbusier/di Giorgio Martini
Documents Gratuits : Le Corbusier/di Giorgio Martini. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 24 Février 2013 • 2 551 Mots (11 Pages) • 1 292 Vues
ATC : ANALYSE COMPARATIVE
Sujet :
Ces deux ensembles de documents, relatifs à deux époques différentes de l’histoire de l’Art, donnent une idée de l’importance que les architectes occidentaux accordent, notamment par celle des rapports de mesure, au caractère anthropomorphe de l’architecture.
Il vous est demandé, par une analyse plastique et conceptuelle comparative, de mettre en évidence ce qui relie les deux conceptions qui vous sont soumises, mais aussi ce qui les sépare.
A partir de votre analyse comparative de ces deux ensembles documentaires, et en les replaçant dans leurs contexte historiques et artistiques respectifs, vous démontrerez en quoi ceux-ci sont caractéristiques de l’évolution du rapport entre corps humain et architecture en occident, entre la naissance des temps modernes et le modernisme.
point relevés :
- problème de l’aménagement du cadre de vie
-en quoi un architecte a pu s’inspirer à ces problèmes là
-on a démontré -et principalement à la Renaissance- que le corps humain obéit à la règle d'or.
martini:le corps comme modèle des mesures architecturale
corbusier:architecture autour du corps mobilier urbain proportions etc...
le modulor :
http://ww3.ac-poitiers.fr/arts_p/b@lise14/pageshtm/page_7.htm
de la feuille sur martini:
http://ww3.ac-poitiers.fr/arts_p/b@lise14/pageshtm/page_6.htm
vision du corps aux deux époques :
XXeme:
Jamais, avant le XXe siècle, le corps humain n'avait connu de tels bouleversements. Ces profondes transformations, ressenties à même la chair, sont tout autant mutation des regards qu'on a portés sur lui. Le déplacement du rapport entre santé et maladie, corps normal et corps anormal, vie et mort dans une société médicalisée de part en part ; le relâchement de disciplines héritées du passé, la légitimité accordée au plaisir en même temps que l'émergence de nouvelles normes et de nouveaux pouvoirs, biologiques et politiques ; la recherche du bien-être individuel et l'extrême violence de masse, le contact des peaux dans la vie intime et la saturation de l'espace public par la froideur des simulacres sexuels : tels sont quelques-uns des paradoxes et des contrastes au sein desquels s'est constitué le rapport du sujet contemporain à son corps. Un autre enjeu surgit alors : interroger le corps en ce siècle heureux et tragique n'est-il pas une manière de poser la question de l'humain ? A l'heure où prolifèrent les corps virtuels, où s'échangent le sang et les organes, où s'estompe la frontière entre le mécanique et l'organique, où l'on s'approche de la programmation de l'espèce et de la réplication de l'individu, il est plus que jamais nécessaire d'éprouver la limite de l'humain : "Mon corps est-il toujours mon corps ?
renaissance : Il fut interdit de procéder à la dissection de corps humains, effectivement la religion chrétienne et plus particulièrement le catholicisme en Europe impose de nombreuses règles aux sciences car certaines découvertes pourraient mettre en péril la foie catholique. Par exemple les découvertes de Léonard de Vinci sur l’anatomie remettent en question le fonctionnement du corps par les religieux.
Le corps à cette époque a un côté très sale, la religion en fait un outil du diable et du péché originel pour éviter que l’on s’y intéresse et dévaloriser socialement ceux qui procède aux analyses anatomiques. Or il attise la curiosité et vont être révélés les mystères qui composent le corps humain. C’est la naissance de l’humanisme. La vision du corps se métamorphose, le mépris et le rejet ne sont plus repères : le corps peut être objet de santé et de bonheur.
La composition régulière va profondément marquer l’architecture, Alberti, Brunelleschi, Palladio, vont théoriser leurs modèles, JNL Durand proposera des trames de composition, Le Corbusier, pourtant plus connus pour ces dessins cursifs, utilisera la composition géométrique pour ces bâtiments, tout d’abord de façon réflexive, (comme Alberti, les bonnes proportions se trouvent dans la forme de départ qui est ensuite découpée suivant des procédures harmoniques) puis induites par la figure d’un homme idéal, le Modulor.Car, depuis Polyclète puis Vitruve et Léonard de Vinci, il est une idée que l’homme peut posséder des proportions idéales, répondant à des critères géométriques et proportionnels.,Commode pour apprendre à dessiner correctement les proportions humaines, l’homme géométrique finit donc par modeler un environnement utilisé par toutes et tous. Universel et divin, l’homme géométrique, proportionné dans une sphère commence à exposer l’ambiguïté entre les volumes platoniciens, incarnant la perfection selon les critères de l’antiquité, et une vision globale et infinie de Dieu. Cela amorce même une tension qui existera entre ces deux visions du monde spirituel, que l’on verra se développer progressivement et qui explosera formellement, grâce à des projets de papier, à la révolution française
A la renaissance le nombre d’or est mit à l’honneur par luca pacioli : il est nommé la divine proportion. C’est au cours des XIX et XX eme siecles que naissnt les termes de section dorée et nombre d’or. on le retrouve dans la nature mais aussi les batiments tels que ceux du corbusier, car il est présent dans les proportions du corps humain.
antropomorphisme architectural : tendance à atribuer à l’architecture notamment dans les structures des caractéristiques propres à l’homme.
REGARDER VITRUVE !LE CORBUSIER
LC est l'architecte qui théorise l'usage du nombre d'or dans son métier. S'il reprend l'idée de Vitruve, consistant à proportionner un bâtiment aux dimensions d'un corps humain, il y associe d'autres éléments justifiant l'usage de la proportion d'Euclide
-style cubiste et puriste(simplicité des formes, organisation, rigueur) , brutaliste
-connu
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