La Musique

Résumé :

Parler de musique et de communication, qui est , vouloir étudier les interactions existant entre ces deux formes d’expression humaine, peut apparaitre tautologique. De fait, la musique depuis toujours << communique >> des émotions, des sentiments, des idées… les origines du terme musique l’exprime d’ailleurs clairement. Tiré du grec <<musiké>>, le mot musique renvoie à cette idée d’échange mais aussi de communion entre les hommes et les dieux. Pourquoi alors, vouloir étudier la musique et la communication ?

INTRODUCTION :

Ce premier point posé, il me semble important d’étudier la musique dans cette perspective à l’heure ou la communication est devenue le noyau central de toute activité humaine (car aujourd’hui rien ne peux plus se faire sans communiquer).

Proposer d’engager des recherches sur la musique en communication devient donc une question fondamentale. L’enjeu est de saisir la place et le rôle de la musique aujourd’hui dans cette société dite de l’information de la communication.

Certes, la thématique est large et les sujets nombreux. Toutefois, elle me parait intéressante car elle permet d’engager des questionnements transverses sur la musique, ses fonctionnalisation. De son accompagnement quotidien à l’illustration de l’image, de la publicité aux lieux publics, elle est aujourd’hui utilisée à d’autres fins que celles promises par le romantisme et l’esthétique artistique du X1Xe :la musique par t pour elle-même . Ajoutons encore, que des thématiques ne sont souvent pas, voir peu abordées par les disciplines qui ont fait de la musique leur terrain de recherche.

Dès lors, j’aborderai la musique comme autant d’objets communicationnels construits et déconstruits quotidiennement en fonction de choix personnels et collectifs, de pratiques et de médiations sociotechnique, de relations et d’interactions fondatrices de ces mondes musicaux quotidiens au sens ou les définit H. Becker (1990)

Dans cette perspective, j’ai retenu cing thématiques originales qui demandent à être enrichies et approfondies

MUSIQUES ET Publicité

Le liens entre la musique et la publicité sont déjà anciens. Comme le montre J.R Julien, ils prennent forme avec les vendeurs de rues pour s’imposer définitivement avec la naissance et le développement de la radio. Par la suite, la musique investiront le cinéma et la télévision en accompagnant l’image publicitaire. Pourtant à la différence d’hier, ces liens deviennent caduques puisque le plus souvent ces musiques sont réutilisées à d’autres fins que celles initialement prévues…

MUSIQUES COMME Thérapeutique :

L’écoute de la musique se fait en fonction de nos humeurs et de moments de la journée. Les œuvres de satie deviennent des musiques de l’aube. Dès lors , la musique peut avoir des effets bénétiques ou néfastes sur notre comportement. En partant de cette idée, des médcins (s’inspirant de pratiques existant depuis l’antiquité) ont pensé utiliser la musique à des fins thérapeutiques :la musicothérapie .

QUELLES MUSIQUES UTILISER ?

Dans tous les cas, la musique sert de <<déclencheur>> à d’autres formes de communication et permettre de développer des processus psychomoteurs.

Dans le cas thérapeutiques, les musiques utilisées émanent d’un choix du thérapeute.

On retrouve ainsi les compositions synthétiques comme celle de pépé, d’alpern…, celles instrumentales et << naturelles>> et enfin des arrangements de bruits naturels ( le chant des dauphins, les bruit de la mer , de la pluie …

DES EFFETS ?

La musique utilisée en musicothérapie ne jour pas sur les effets de la musique comme influence psychique et corporelle destinée à l’influence collective et généralisée mais plutôt sur la capacité de la musique à libérer l’individu de ces tensions qu’elles soient physiques ou/et morale. La musique doit aider les patients

La musique exprime ce qui ne peut être dit et sur quoi il est impossible de rester silencieux.

POURQUOI LA MUSIQUE COMME MOYEN DE COMMUNICATION POUR REJOINDRE NOS JEUNES?

Les analystes nous démontrent que la musique se classe parmi les cinq (5) médias majeurs d’influences. Pour la catégorie des jeunes adultes par exemple, cette force médiatique arrive au premier rang, avant la télévision, internet, le cinéma et les livres. Mission Jeunesse Québec a choisi de se consacrer au média majeur d’influence

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