Germinal, Emile Zola
Chronologie : Germinal, Emile Zola. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar LightTD • 2 Juin 2017 • Chronologie • 764 Mots (4 Pages) • 897 Vues
De son temps, Emile Zola fut un écrivain rancais du XIXe siècle qui était spécialisé dans le naturalisme qui est un mouvement littéraire consistant à décrire la réalité telle qu’elle est tout en utilisant des apports scientifique tel la sociologie.
Concernant le roman étudié, Germinal, c’est un roman paru en 1984 et qui aborde et dénonce le milieu du travail de la mine et la façon dont sont traités les ouvriers à l’époque. Son personnage principal est Etienne Lantier qui est un homme sans emploi.
Au travers des lignes suivantes, nous allons aborder le passage de la description de la mine dans le livre qui eut 2 aspects, une première description détaillée et documenté et une autre un peu plus fantastique qui démontre l’aspect angoissant de la mine. C’est pourquoi au cours d’une analyse linéaire, nous allons d’abord parler au de la description précise, puis celle qui montre l’état angoissant de la mine, nous finirons avec une description répondant à la problématique de pourquoi cette description générale est naturaliste.
[Première partie]
Dans cette première partie, nous avons vu que la description de la mine dans Germinal est très précise et documentée. Ceci est une des caractéristiques du naturalisme. Dans cet extrait, l’auteur insiste aussi en nous démontrant l’hostilité du lieu décrit qui reflète la dureté et la dangerosité de la mine.
Emile Zola utilise à plusieurs reprises de nombreux moyens pour montrer l’hostilité de la mine
Tout d’abord, il commence a nous livré le point de vue interne d’Etienne pour nous montrer que la cage d’ascenseur est sinistre : Grace à une énumération d’adjectif « Etienne resta immobile, assourdi, aveuglé » a la ligne 7. Zola veut ensuite nous montrer le premières reactions et sensations d’Etienne quand il découvre le lieu. Il est pétrifié et choqué par les conditions dans lesquelles les différents mineurs travaillent. Etienne découvrit le fonctionnement de cette cage mais ne le comprend pas « sans qu’Etienne ne comprît rien à ces besognes compliqués »
A la ligne 42 à 50 on retrouve un dialogue qui nous montre une nouvelle le point de vue d’Etienne mais aussi celui des mineurs.
Il apprend par l’un deux la profondeur de la mine ce qui l’inquiéta pour leur sécurité
Quant aux mineurs, ils sont conscient du danger mais n’ont pas le choix que de travailler dans ces conditions pour vivre et nourrir leurs famille
De la ligne à 66 Zola utilise le champ lexical de la peur « Peur, malaise » pour nous montrer qu’Etienne est paniqué . Egalement, on va retrouver encore son point de vue pour une question qui est rhétorique« Pourquoi s’entêter ?» Cela montre qu’il se rend à l’évidence que le métier qu’exerce les mineurs est difficile et qu’ils ont des conditions de travail risqués. Zola utilise par la suite plusieurs figure de style pour émontrer que le lieu est inquiétant. En effet, à la ligne 5 « pareille à un nef d’église » il y a une comparaison qui comparer des tailles paressant semblables pour nous faire imaginer un lieu sombre, grand et vaste, également à la ligne 19 « c’était sans relâche comme des coups de massues » veut dire que les signaux de commande sont semblables et comparés à des coups fort qui donnent l’impression d’être assommer. On retrouve ensuite une énumération à la ligne 18 qui personnifie les cages en nous présentant leurs mouvements répétitifs, elles sont rendus vivantes.
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