Le Cri tableau
Commentaire d'oeuvre : Le Cri tableau. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 21 Avril 2013 • Commentaire d'oeuvre • 336 Mots (2 Pages) • 1 557 Vues
Le cri, est un tableau expressionniste d'Edvard Munch, qui a peint ce tableau entre 1893 et 1917. Ce tableau est de 83,52 centimètres de hauteur et de 66 centimètres de largeur. Il se trouve actuellement au musée Munch à Oslo.
La technique employée pour cette oeuvre est le " Tempera sur carton ", qui est une technique utilisée pour faire une peinture à base de jaune d'oeuf.
2)Description
C'est un homme sur un pont, émetant un grand cri, plus loin derrière se trouve deux hommes qui sont probablement ses amis. Le personnage émétant le cri qui pourrait surement être Edvard Munch, a le visage entre les mains, un corps semblable à la forme d'une larve, les yeux vides, le visage livide et il est habillé de noir.
Le paysage autour du pont est composé de trois parties :
-La terre d'un brun presque vert.
-La mer en bleu foncé.
-Le ciel est "strié" de rouge et de jaune, avec très peu de bleu, où les stries semblent prendre la forme d'un oeuil.
On voit égalemùent une île dont deux bateaux derrière.
Le personnage émetant un cri a l'air d'avoir peur, d'avoir envie de s'échapper, de quitter ce monde, de quitter ce tableau.
¤)Description de l'auteur
L'artiste a associé une note dans unde ses journaux à propos de cette oeuvre :
<< J'étais entrain de marcher le long de la route avec deux amis, le soleil se couchait, soudain le ciel devint rouge sang, j'ai fait une pause me sentant épuisé, et me suis appuyé contre la grille, il y avit du sang et des langues de feu, au-dessus du fond bleu-noir et de la ville, mes amis ont continué à marcher, et je suis resté là tremblant d'anxiété, et j'ai entendu un cri infini déchirer la nature. >>
Il dit aussi que le coucher du soleil rouge flamboyant, est provoqué par l'éruption du Krakatoa, petite île volcanique du sud-ouest de l'Indonésie.
Dernièrement, l'artiste dit aussi :
<< J'ai peint ce tableau, peint les nuages comme du véritable sang. Les couleurs hurlaient. >>
Cette dernière remarque dégage une atmosphère réellement expressioniste.
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