Corps humain

dfnkl Depuis la préhistoire et jusqu’à nos jours, le corps humain a été le thème le plus traité dans l’art

Occidental et sa représentation se fait encore beaucoup de nos jours. L’analyse comparative entre les œuvres de Di Giorgio Martini et Le Corbusier confrontent 2 visions du corps humain en occident à 2 époques de l’histoire différentes, l’une datant du XVème siècle (Di Girorgio Martini) et l’autre datant du XXème siècle (Le Corbusier). Francesco Di Giorgio Martini (1439-1502) est un peintre un sculpteur italien de la Renaissance. Il a produit des nombreuses architectures de plusieurs domaines différents telles que l’architecture anthropomorphique, militaire, civile ou encore religieuse. L’artiste s’est inspiré également, avant Léonard de Vinci, de l’homo bene figuratus de Vitruve pour son étude des proportions humaines. Le Corbusier (1887- 1965) est un architecte, urbaniste, décorateur, peintre, sculpteur et homme de lettre suisse du XXème siècle. Il est l’un des principaux représentants du mouvement moderne. C’est en 1944 que Le Corbusier invente la notion architecturale du Modulor, désignant « un outil de mesure issu de la stature humaine et de la mathématique ». Autrement dit, c’est la représentation des proportions humaines à travers les mathématiques. C’est donc 2 visions de 2 hommes différents à travers 2 époques différentes de l‘histoire de l’art que nous allons étudier.

Comment est perçu le corps humain à travers deux époques différentes de l’histoire de l’Art ?

Nous verrons dans un premier temps qu’est-ce qu’ont en commun les deux visions des artistes puis, nous verrons ce qui les différentie.

Les visions des deux artistes ont en commun plusieurs aspects vis-à-vis du corps humain. Tout d’abord, le corps humain est représenté selon des normes et des valeurs géométriques. En effet, on constate d’abord une notion des proportions traduite de manière graduée sur les différentes œuvres. Ensuite, les deux artistes parviennent à inscrire le corps humain dans des formes géométriques, tout particulièrement dans des cercles et des rectangles, tout comme Léonard de Vinci l’a fait avec son œuvre Vitruve Luc Viatour. Les deux artistes étudient donc les proportions chez l’être humain de manière mathématique.

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