SYNTHESE SUR LA PUBLICITE
Synthèse : SYNTHESE SUR LA PUBLICITE. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Didiy Najaos • 22 Mars 2020 • Synthèse • 598 Mots (3 Pages) • 1 156 Vues
Synthèse
La publicité envahit notre société de jour en jours : dans les transports, les smartphones, les lieux publics. La publicité est omniprésente dans notre monde. Ce que nous explique les corpus. On peut alors s’interroger quels sont les enjeux de la publicité ? Pour répondre à cette problématique, nous allons voir que la publicité offre une vision déformée du monde et ses méthodes qui sont jugées très différemment.
La publicité nous renvoie un message à la fois global et qui atteint l’inconscient avec un effet effarant ce que nous explique le journaliste Jean-Claude Guillebaud dans son article sur « la féérie publicitaire » publié dans le Télé CinéObs, n°55, en septembre 2004. Le message annonçait par la publicité est toujours positif comme nous l’indique Jacques Lendrevie et Bernard Brochand dans leur essai intitulé « Publicitor, théorie et pratique de la communication » publié chez Dalloz Gestion en 2001. Ce constat est confirmé par le personnage d’Octave dans le récit de Fréderic Bei Beigbeder, 99 francs, Edition Grosset en 2000 qui se présente comme publicitaire qui pollue l’univers.
Ces documents s’accordent sur les faits que les publicités euphorisent et optimise systématique notre société en montrant des images parfaites de la vie quotidienne comme nous l’annonce Jean-Claude Guillebaud et en annonçant toujours des bonnes nouvelles et en voyant les bons côtés des choses comme nous le démontre Jacques Lendrevie et Bernard Brochand. Frédéric Beigheder s’accorde avec les autres auteurs en l’illustrant par un bonheur parfait, retouché par Photoshop.
Leur stratégie est bien au point en suscitant le besoin d’embellir la vie de chacun. La publicité nous soumet à une fausse vérité, c’est une imitation fausse de la réalité comme développe le journaliste. Son objectif est de susciter la sympathie ou l’empathie démontre les essayistes. Le romancier présente la nouveauté comme une drogue.
Les publicitaires utilisent différents registres : comédie, vaudeville ou opérette mais jamais le drame comme nous dégage « Publicitor, Théorie et pratique de la communication ». La frustration du public devient un outil publicitaire que nous expose le romancier. La publicité est une mise en scène qui finit par substituer sa présence au réel.
On peut voir que pour les uns, la publicité répond au besoin d’embellir la vie et d’apporter du plaisir. On peut constater dans l’article publier en 2004 que le public ne se laisse tromper sur le court terme mais elle l’influence sur le long terme en engendrant des conséquences dévastatrices comme nous l’expose le journaliste. Notre société à bien conscience de l’exagération des publicités ce que nous qu’écrivent J L et B B dans leurs essaies.
Nous sommes dans une société dénuée d’originalité ou la consommation devient une nécessité pour le bonheur de chacun ce que nous fais constater le journaliste ainsi que l’essai de J L et B B. Le romancier nous fait remarquer que les publicitaires se nourrit des sentiments de malheur du public car les personnes heureuses ne consomment pas.
Pour les autres, elles mettent en question la démocratie et posent des problèmes éthiques. Notre société est différente de l’image déformée des publicités. La réalité est plus dure, l’inégalité est flagrante et plus souffrantes. La démocratie dans notre société est affectée par la réalité et l’image publicitaire comme l’expose J-C Guillemaud. Les publicitaires utilisent les stéréotypes des différentes cibles qu’elle vise nous le démontre dans le livre Dalloz Gestion.
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