La police de la jeunesse

LA POLICE ET LA JEUNESSE

PLAN

Thème: individuel et collectif

I- Introduction

1- La police

2- La jeunesse

II- L’augmentation des violences

1- Les violences entre jeunesses

2- Les violences policières

3- Les violences envers les policiers

III- Les rivalités historiques

1- Mai 1968

2- Mouvement lycéen

IV- Conclusion

I- INTRODUCTION

En France, les forces de l’ordre sont divisées en deux groupements distincts : les policiers et les gendarmes. Même si leurs missions sont plus ou moins similaires, il existe une différence entre les policiers et les gendarmes. Les policiers sont considérés comme des fonctionnaires de police et sont sous les ordres du directeur de la police, alors que les gendarmes sont considérés comme des militaires, ils sont donc sous l’autorité du ministère de l’intérieur. Au sein des ces groupements, il existe différentes unités comme la BAC ou le GIGN. Leur organisation dépend de l’action qui leur est amenée à effectuer.  Ces unités sont crées dans le but d’assurer des missions précises toujours en rapport avec la protection des populations, des personnalités, des biens publics comme privés, ou encore de surveiller certains individus afin de prévenir certaines menaces potentielles comme un attentat terroriste. Lors d’interventions, les forces de l’ordre doivent suivre des règles définies par la loi, et des ordres donnés par leur(s) supérieur(s) hiérarchique.

Selon certains sociologues, il existe différentes jeunesses, en fonction des catégories d’âge, du milieu social de développement, de la situation sociale et du contexte familial.

Il est à noter que tous les sociologues n’ont pas la même définitions de la jeunesse

Les jeunesses en fonction de l’âge sont définies en plusieurs groupes :

La première jeunesse : elle s’étend de l’enfance à l’adolescence

La seconde jeunesse : elles s’étend de l’adolescence à l’âge mûr

La jeunesse représente l’âge des découvertes, l’âge des premières fois.

Dans notre TPE, nous allons nous intéresser à la première jeunesse.

De nos jours, l’image relayée par les médias sur la jeunesse est celle d’une jeunesse à la dérive plus particulièrement dans les quartiers “sensibles”

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D’après plusieurs études, la jeunesse à “changé” entre les années 1980 et nos jours, en effet nous remarquons que l’âge adulte arrive plus tard : entre 25 et 30 ans.

Dans ce TPE, nous nous intéresserons à savoir :

De quelle manière la police est-elle perçue par la jeunesse?

II- L’AUGMENTATION DES VIOLENCES

1. Les violences entre jeunes

La violence des jeunes est l’une des formes de violence les plus visibles. Les agressions, à différentes échelles , exécutée par les jeunes contribuent fortement au nombre total dans le monde de décès prématurés, de traumatismes et d’incapacités. Cette violence entraîne des préjudices graves non seulement pour les victimes, mais aussi pour les familles, les amis et les communautés.

La violence chez les jeunes peut s’expliquer par les facteurs qui sont les suivants :

-l’hyperactivité l’impulsivité

- une maîtrise insuffisante de soi

- des problèmes d’attention

- des antécédents de comportement agressif

- un faible niveau d’éducation.

On estime qu’en 2000, 199 000 jeunes ont été tués dans le monde, ce qui est équivalent à la mort chaque jour de 565 jeunes de 10 à 29 ans pour cause de violence interpersonnelle .

Depuis les années 1990 la violence à l'école est une violence sociale qui se concentrent dans des établissement situés dans des quartiers difficiles(quartier sensible).

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Il y a une différence qui se creuse entre ses établissement et les autres .

Michel Richard dit qu'il y a une grosse différence entre les jeunes établie en centre ville et en périphérie, notamment se classer en ZEP. Ce n’est pas surprenant car l’établissement est le reflet du milieu dans lequel on évolue: en centre ville les enfants ont des parents de profession libérales ou cadres supérieurs , tandis que d'autres zones concentrent des enfants qui cumulent des handicaps culturel , social , économique ;

(Cette photo nous montre les enfants de plusieurs catégorie sociale)

cite: journal de la Croix

Article: Les jeunes des quartiers sensibles,première victime de la crise)

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(Cette photo nous montre qu’une seule catégories sociale contrairement a l'autre image)

Les taux d’homicide chez les jeunes varient cependant beaucoup d’une région ou d’un pays à l’autre et, presque partout, ils sont beaucoup moins élevés chez les filles que chez les garçons.

Le milieu familial joue un rôle fondamental dans le développement des comportements violents chez les jeunes. Un certain

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