La chambre du château du Baron de Sigognac.

1. La scène se déroule à la tombée de la nuit (ligne 1-2) dans la pièce commune et la chambre du château du Baron de Sigognac.

2. a) le château est mélancolique car avant la famille était puissante et riche mais maintenant elle a presque totalement disparu il ne reste que le baron de Sigognac qui est l’hériter de la famille qui vit avec sa compagne.

3. Le soir la chambre devient effrayent comme si elle essayer de tuer les personnes qui y sont. Les deux procédés d’écriture sont le cham lexical de la chasse et de la peur car les termes employer fait penser à un chasseur cacher qui attend sa proie puis il devient un assassin prêt à nous tuer.

4. La chambre à coucher est décrite comme fantastique car c’est comme si elle était vivante comme un vampire qui dors le jour mais quand arrive le crépuscule les tapisseries se réveil et observe leurs proies car on parle à la ligne 28 : « d’assassin guettant sa victime au lèvres rouge qui ressemble à la bouche d’un vampire empourprée de sang.

5. Les trois sentiments que le lecteur ressent sont : la solitude car le château parait trop grand pour cette famille, la peur car la chambre est décrite comme hostile et une sorte de nostalgie qui ravive le moral de cette famille ayant tout perdu.

6. Le texte et le photogramme ont un lien car sur le photogramme l’ambiance est présente on voit le personnage qui admire avec méfiance comme le baron dans la chambre dites « fantastique » la lumière est faible comme dicté dans le texte au moment où le serviteur allume la petite lampe à huile.

7. a) On peut remplacer le verbe « devenait » par le verbe « paraissait ».

b) On peut identifier une personnification de la tapisserie.

8. Enfumés (fumée), noir (couleur), pitié douloureuse (sentiment)

9. La tapisserie prenait des tons livides, et les chasseurs, sur un fond de verdure sombre, devenaient, ainsi éclairé, des êtres presque réels. Ils ressemblaient, avec leurs arquebuses en joues, à des assassins guettant leurs victimes, et leurs lèvres rouges ressortaient plus étrangement encore sur leurs visages pâles.

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