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L'accueil des JO, bonne ou mauvaise idée ?

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Par   •  5 Novembre 2018  •  Étude de cas  •  1 011 Mots (5 Pages)  •  557 Vues

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Quels intérêts pour la ville hôte ?

Lors de cet événement, la ville hôte est constamment sous les feux des projecteurs : les télés, radios et presses du monde entier sont sur place afin d’être au plus proche de l’événement. Ceci peut être vraiment bénéfique, comme destructeur. En effet si cela se passe bien le monde entier aura une bonne image de cette ville. Les particuliers se diront peut être que des vacances là-bas seraient la bienvenue, et les professionnels y verront une opportunité de s’installer dans une ville saine et pleine de vie. Or si cela se passe mal la réputation en prendra un coup !

Dans cette même idée de quête a l’image parfaite, des infrastructures de transport sont construites afin de favoriser un déplacement optimal dans la ville. Cet manifestation attirera aussi hôtels et restaurant qui voit en ces touristes occasionnels une vraies mines d’or, commerces qui resteront sur place post JO.

Ces jo permettront aussi de fournir des infrastructures sportives superbes qui dans la suite logique des événements resserviront et seront un atout non négligeable pour les clubs locaux, voir pour des manifestations culturelles telles que concerts ou spectacles.

Derrière la candidature de ces villes hôtes se cachent bien souvent la candidature du pays. C’est une occasion en or d’exposer son « soft power ». Le softpower, ou littéralement traduit « puissance douce », est tt la puissance qu’un état impose implicitement, c’est à dire sa culture. Par exemple, le soft power des Etats Unis sont Macdonald, leur mode de vie ou encore Hollywood. Cette notion nous montre implicitement l’influence qu’a un pays sur le monde.

Cette manifestation permet aussi de développer certain sport. Prenons l’exemple des JO de Tokyo en 2020 : le karaté fera son apparition dans la liste des sports olympique. Le karaté étant un sport historiquement japonais, le pays a réussi a envoyer sa culture en haut de l’affiche, donc de mettre en avant sa soft power. Aussi, en voyant ces sports à la télé, certains iront certainement s’inscrire par curiosité ou tout simplement par envie dans des clubs de sports « oubliés », et peut être ainsi assurer la relève !

de moins en moins de villes s’y intéressent

Alors que les JO sont une compétition internationale existant depuis des siècles, l’organisation est maintenant réservée à des villes phares du au coup pharaonique que cela engrange. De plus le comité international olympique demande au fur et à mesure du temps des spécificités de plus en plus exigeantes. Les normes pour les handicapés, par exemple, nécessite des constructions plus complexes. Le développement durable aussi impose des contraintes sur les matériaux par exemples. Il faut aussi penser à l’utilisation de héritage olympique afin d’éviter les éléphants blanc, qui sont des investissements d’envergure et prestigieuse, souvent d’initiative publique, mais qui s’avère plus coûteuse que bénéfique, et dont l’exploitation ou l’entretien devient un fardeau financier. Pour limiter les risques la solution la plus sure est de réutiliser les infrastructures déjà existantes, ou encore d’utiliser des bâtiments démontables, comme l’avait fait Londres en 2012 avec un stade de basket démontable et recyclable. Ce fonctionnement permet de limiter les coûts, de ne pas être obligé de trouver un emplois a cette construction et enfin de pouvoir

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