Economie de marché viable. Une promesse de paix et de stabilité pour le continent.

économie de marché viable. Une promesse de paix et de stabilité pour le continent.

➢ Et pourtant, carte du monde après 1989 et aujourd’hui : p 166 (Fiche 22 à remplir) : un monde instable caractérisé par des conflits et des tensions nombreux : des conflits internationaux (Syrie, Irak), des guerres civiles, des conflits d’une autre nature comme les attentats terroristes islamistes. Un monde menaçant, complexe avec une menace de prolifération nucléaire (Iran, Corée du Nord), des tensions entre puissances (Iran/Arabie Saoudite ; EU et Chine). Un monde qui doit relever un certain nombre de défis et qui est confronté à des enjeux multiples : les ressources naturelles (guerre pour le pétrole et pour l’eau) et la question de l’environnement, de puissance (rivalités internationales, régionales) et religieux (chiites et sunnites) voire civilisationnels• Superpuissance diplomatique : G Bush prononce un discours devant le Congrès le 11 septembre 1990 lors de la crise du golfe déclenchée par l’invasion du Koweït par l’Irak un mois plus tôt. Il préconise la mise en place d’un nouvel ordre mondial fondé sur le respect du droit international (il rappelle le respect de la souveraineté et de l’égalité entre Etats, bafouées par l’Irak), sur le respect des valeurs universelles que sont laest capable de réagir très rapidement : espoir d’un nouvel ordre mondial ; Par ailleurs, cette guerre a montré la supériorité militaire des Américains qui s’affirment comme le gendarme du monde. Cette guerre est apparue comme une « guerre juste » aussi.

Pour l’Irak : son dictateur est maintenu en place, des populations chiites et kurdes qui ont profité de ce conflit pour se révolter sont ensuite massacrées par Saddam Hussein (aucune intervention américaine ni occidentale !) et l’Irak devra subir un embargo très strict qui durera pendant une dizaine d’années car soupçonné de détenir des armes de destruction massive (armes chimiques notamment). Cette guerre du Golfe n’est pas la dernière : à la suite du, les EU, seuls, sans mandat de l’ONU, ils décident d’attaquer

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