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TD : Le cœur de grenouille isolé

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Par   •  29 Novembre 2020  •  Compte rendu  •  2 218 Mots (9 Pages)  •  881 Vues

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TP n°2 : Le cœur de grenouille isolé

On va commencer par regarder la rythmicité, l’automaticité des contractions cardiaques qd on est avec un cœur de grenouille isolé.

Dans un second temps nous effectuerons des stimulations électrique que l’on fera directement sur le cœur dans un premier temps puis que nous effectuerons par la suite au niveau du nerf 10 appelé également nerf vague.

Concernant la suite du protocole nous testerons les effets de certaines substances sur l’activité cardiaque à la fois l’amplitude et la fréquence des contractions cad les deux paramètres important. Parmi ces substances chimique que nous allons tester il y aura la pilocarpine, l’atropine, l’épinéphrine et la digitalis.

  • La pilocarpine :  induit des modifications transitoires de l'hémodynamique ou du rythme cardiaque: bradycardie, ralentissement de la conduction, vasodilatation
  • L’atropine : à plusieurs action :

→ Action cardiaque : L'effet de l'atropine se traduit essentiellement par une modification du rythme cardiaque : à dose très faible, elle peut donner un ralentissement par stimulation du centre cardio-modérateur.

Action vasculaire : comme il n’y a pas de tonus parasympathique au niveau des vaisseaux, l’atropine n’a pas d’effets vasculaires, mais elle s’oppose à la vasodilatation provoquée par une injection intraveineuse d’acétylcholine chez l’animal.

→ Action que la pression artérielle : à dose thérapeutique, l’atropine n’entraîne pas de modifications de la pression artérielle en dépit de l’accélération cardiaque.

A dose très élevée ou toxique, elle entraîne une chute de la pression artérielle par dépression des centres vasomoteurs et par vasodilatation cutanée, peut-être secondaire à une libération d’histamine.

  • Epinéphridine : peut entraine des battements du cœur irrégulier, une fréquence cardiaque accrue ou des cœur bat très fort battements de cœur rapides, une douleur thoracique, une difficulté respiratoire. Elle rétrécit le calibre des vaisseaux sanguins, ce qui peut augmenter la pression artérielle, accélérer le rythme cardiaque et possiblement provoquer une irrégularité des battements cardiaques.

Et pour terminer nous testerons les effets du calcium, du sodium et du potassium à la fois sur l’amplitude et sur la fréquence cardiaque.

Activité 1 et 2 :

On observe un cœur de grenouille isolé qui est suspendu à une jaune manométrique. Cette jauge va nous permettre par la suite d’enregistrer à la fois le rythme des contractions cardiaque et l’amplitude des contractions cardiaques. Le cœur est alimenté par ce que l’on appelle du ringer cad une solution ringer à 23°. Cette solution ringer contient du sodium, du potassium, du calcium, du chlore et du glucose. C’est indispensable pr obtenir ces contractions cardiaque du cœur isolé de façon rythmique.

On enregistre l’activité de base du cœur isolé et sur cette activité de base on remarque que l’on a 2 ondes différentes une de faible amplitude et une de plus grande amplitude. Chaque paire d’onde petite et grande onde correspond à un battement cardiaque complet.

Valeur du rythme cardiaque normal qd celui-ci est stable : 62 battement par min.

On peut également mesurer l’amplitude globale de nos ondes obtenues.

Dans un second temps on va passer aux stimulations électriques d’une part au niveau du cœur directement de la grenouille puis au niveau du nerf 10 appelé aussi nef vague qui est censé innervé se cœur. Donc si nous considérons que le nerf vague est encore présent sur le cœur c’est que celui-ci n’est pas totalement isolée il est encore innervé par le nerf 10.

On va commencer par les stimulations directes du cœur de grenouille. Pr cela d’abord on prends tjrs la valeur contrôle cad 62 battements par minute avant les stimulations. On prélève l’électrode de stimulation et on le place à l’endroit dédié à cela. Une fois que l’électrode de stimulation est en place on va effectuer des stimulations électriques à un voltage de 20V et on utilise des stimulations multiple. Nous sommes donc a 20 stimuli seconde. Et qd on observe l’écran on voit un tracer différent avec une fréquente cardiaque qui a également été modifiée puisque l’on passe de 62 battements par minute ce qui un rythme cardiaque normal à une valeur de 68 battements par min.

Fin de la stimulation on attend le retour à la normal cad à 62  battements par min, retour d’ailleurs qui se fait assez rapidement.

On va mnt effectuer des stimulations électriques directement sur le cœur mais sur le nerf 10. Pr cela on utilise tjrs une électrode que l’on place au niveau du stimulateur. On va effectuer des stimulations d’ordre croissante cad que l’on va commencer avec une simulation à un voltage de 1V avec 10 stimulations par seconde. On passera ensuite à 20stimu/sec puis à 30, puis à 40 et enfin à 50.

Valeur normal avant stimulation : 62 battements par min. Au fur et à mesure la stimulation le rythme cardiaque qui était de base de 62 battements par min diminue passant à 58, 56, 55, 54, 53, 52 battements par minute. Une fois arriver à un rythme cardiaque de 52 battements par min le rythme cardiaque est stable à l’écran on arrête donc la stimulation. On attends un retour à la valeur normal cad de 62 battements / min.

        On passe mnt à 20 stimu/sec tjrs à un voltage de 1V : Une fois la stimulation commencer la valeur du rythme cardiaque baisse fortement et plus rapidement que précédemment en passant de 62 battements par min à 41 battements par minute ou a ce niveau le rythme est stable. On arrête donc la stimulation pr revenir à une valeur à la normal du rythme cardiaque cad à 62 battements par/min.

        

On passe à 30 stimu/sec tjrs à un voltage de 1V : on part tjrs de la valeur contrôle cad de 62bpm. Une fois la stimulation commencé on remarque que là encore le rythme cardiaque diminue plus fortement que lors de la stimulation effectué à 20 stimu/sec. Cette fois le rythme baisse 2X plus vite les valeurs baisse de 2 en 2 jusqu’à atteindre 31 bpm. On arrête la stimulation afin de revenir à notre valeur de départ 62bpm.

On passe à 40 stimu/sec tjrs à un voltage de 1V : encore une fois nous partons de la valeur de référence de 62 bpm. Au début de la stimulation les valeurs baisse relativement doucement passant de 59 à 55 puis passer la barre des 50 on assiste à une diminution de plus en plus forte des valeurs passant par exemple de 48 à 44 puis de 44 à 41 puis arrivant au alentour de 30 les valeurs baissent de nouveau relativement doucement passant de 32 à 30, de 30 à 28, de 28 à 26. Puis à partir de 26 les valeurs diminue allant de 1 en 1 et passant donc de 26 à 25 puis 24, 23, 22, 21. Pour enfin se stabiliser à 20 bpm. Et on remarque un plus grand écart entre les courbes un écart de presque 2 chiffres. Cet écart forme une ligne une droite puis reprend ensuite sa forme de courbe. On arrête la stimulation afin de revenir à notre valeur de départ 62bpm.

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