Don organes

Le premier don d’organe en France a eu lieu en 1952, celui ci a consisté à une greffe de rein prélevé sur un donneur vivant et implanté avec succès par le professeur Hamburger sur son patient. Mais celui ci est décédé 21 jours après cette opération. Depuis, la technique n’a fait que s'améliorer et aujourd’hui les patients qui ont reçu une greffe vivent bien plus longtemps. Mais parmi tous les patients, beaucoup n’ont pas le temps de recevoir un don et meurent alors qu’ils sont sur la liste d’attentes car celle ci est longue et peut de personnes en bonne santé donnent leurs organes de leur vivant. Il y a une grave pénurie d’organes car beaucoup de personnes sont réticentes, cela peut s’expliquer par le fait que parler du don d’organe peut amener à se projeter sur sa propre mort et cela peut être difficile. De plus, certaines personnes sont indifférentes à ce sujet. C’est chez les jeunes que l’on trouve le moins d'indifférence car ils se sentent d’avantages concernés.

Nous pouvons alors nous demander :

Quelles seraient les solutions pour pallier à ces pénuries d'organes ?

Dans un premier temps nous verrons les raisons de cette pénurie puis nous verrons avant de conclure quel solutions durable donner à ce problème.

Le don d’organe consiste en un prélèvement d’organes ou de tissus sur un donneur volontaire non rémunéré pour sauver une vie.

Chaque jour, les médecins sont confrontés à une pénurie dramatique de donneurs car le nombre de demandeurs augmente, alors que le nombre d’organes prélevés lui diminue ce qui créer une liste d’attente pour les futures patients à greffer et de cette pénurie qui amène à une liste très longue, des gens décèdent faute de temps et de greffons.

Le nombre de donneurs dont les malades ont besoins diminue de plus en plus chaque année. C’est ainsi que l'année dernière, 5 357 malades ont bénéficié de greffes mais 20 311 patients sont encore en attente et 457 personnes sont mortes faute de greffe de dons d'organes.

Les raison de cette pénurie sont que si les parents en parlaient plus à leurs enfants, ce ne serait pas un choix difficile pour eux et tous le monde donnerait de son vivant ou au pire à sa mort. Parler de don d'organe dans une famille est autant tabou que de parler de sexe. Alors que ça ne devrait pas, chacun est libre de ses choix mais ceux ci doivent être expliquer depuis le plus jeune âge sans gène ni des parents ni des enfants.

Parler de chose de la vie est ce qui la fait avancer. Ne pas en parler, ne pas briser le mur fait de ces gens les coupables involontaires de tous les morts en attente d’organes.

Mais, il y a aussi les choix éthiques. Les religions et les croyances de chacun parle du don d’organe comme quelque chose de mauvais car le corps humain n’est pas une marchandise et il est surtout inviolable. Les personnes sont réticentes à donner leurs organes même après la mort car souvent ils pensent que cela est une raison d’aller en enfer car elles ne sont plus pure.

La peur est aussi une raison de cette pénurie. La peur de la douleur, des cicatrisation… Mais aussi des conséquences sur le corps

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