Devoir Svt cned 1

Exercice 1 :

On sait que la patiente à 63 ans vient consulter parce qu’elle ne voit plus les couleurs dans l’hémichamp droite de son champ visuel donc le médecin hésite entre deux possibilités soit un accident cérébral bénin vue son âge qui aurait endommagé une aire visuelle ou Une dégénérescence de la fovéa qui expliquerait pourquoi elle ne voit plus les couleurs car la fovéa est la zone très riche en cône qui permet de voir la couleur.

On voit que à IRM la patiente à une zone détruite dans hémisphère gauche postérieur comparé à L’IRM normale. Au contraire à la OCT on voit que la rétine de la patiente de corresponds pas à une personne atteinte de dégénérescence de la rétine.

La zone intente est la zone V4 du cerveau c’est elle qui est responsable du traitement de la vision en couleur dans le cerveau. Le faites que cette zone est intentée explique le trouble du vison en couleur d’hémichamp droit par une atteinte de l’aire V4 gauche.

La patiente pourra retrouver un vison en couleur grâce à la plasticité cérébrale. La plasticité cérébrale étant la capacité d’organisation et de réordination du cerveaux le vécu Apres un Avc bénin son cerveau vas reconstruire des neurone ou cellules nerveuses pour pallier au faite qu’elle ne voit plus que parcellement les couleurs.

Exercice 2 :

Si une molécule est commune on peut établir un lien de parenté entre les espèces. Car si on a les une molécule commune c’est que on descend d’une espèce commune.

La plus proche vertèbre est le rat car ils ont 95 de rhodopsine, c’est pourquoi nous fessons des essaie clinique sur les rat car ils sont proche génétiquement de l’homme.

Exercice 3

(J’ai écrit les bonnes réponses)

-Les 2 neurones sont séparés par un espace qui permet la transmission du message nerveux

-le message nerveux circule du neurone 1 vers le neurone 2

-le neurotransmetteur se trouve dans le neurone 1

-possède une suture spatiale qui ressemble à celle de la sérotonine

-se fixe sur les récepteurs de la sérotonine dans le cerveau

- peut provoquer des « flash back » imprévisibles des mois après la consommation

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