L’école s’est-elle réellement démocratisée ?

TREFEL Hugo TG1

Science Economique et Sociale

L’école s’est-elle réellement démocratisée ?

        L’école, soit les lycées, collèges, primaires etc. se définissent telle des institutions de formation, un lieu dans le seul est donné un enseignement aussi bien scolaire (par l’instruction) que social (par l’éducation) de manière à obtenir un capital humain. Ainsi, lorsque que l’on parle de « démocratisation » de l’école on entend une forme d’égalité donnée à chacun dans l’ensemble de ces institutions, l’origine sociale n’étant alors plus un facteur pour le destin d’un individu.

        Alors on va se demander si l’école s’est belle et bien réellement démocratisée au fur et à mesure du temps.

        Donc à l’aide des documents, dans un premier temps nous montrerons que de manière incontestable on observe une démocratisation de l’école depuis quelques siècles mais nous montrerons ensuite que des inégalités, bien que réduites, perdurent.

        Tout d’abords il faut préciser que en prenant une société démocratique il y au niveau de l’école un processus de démocratisation mais aussi de massification se mesurant grâce au taux d’accès à un diplôme et aux taux de scolarisation, ici la massification est donc appart.

        Alors dans ce but de démocratisation on observe une volonté d’égalité des chances, terme selon lequel l’origine social n’a pas d’impact sur les résultats, alors se met un place un système de méritocratie dans lequel les résultats d’un individu sont valorisé uniquement par son mérite  et dans le document 1 selon l’enquête de la DEPP faite en 2019 en France métropolitaine ainsi que sur les DOM on peut observer que les élèves d’un milieu défavorisé sont autant à choisir un enseignement que les élèves d’un milieu favorisé, si on prend les mathématiques par exemple, 61.9pourcents d’élèves défavorisés ont pris mathématiques contre 68.5pourcents pour les élèves favorisés, donc seulement un écart de 6.6 points de pourcentages, ce qui montre que ces deux catégories ont autant de mérite l’une que l’autre.

        Ensuite la gratuité de l’école joue également un rôle important dans la démocratisation, on peut par ailleurs penser au 2 aout 1881 pour l’école maternelle. En outre, le revenu issu de l’origine social d’un individu n’aura donc que peu d’importance et c’est en quelque sorte ce que nous montre le document 2 étant également une enquête de le DEPP sur le taux de réussite au baccalauréat selon l’origine sociale, ici on retrouver un chiffre similaire pour chaque origine donc même les origines professionnelles à revenu plutôt moindre avec par exemple des sans activités professionnelle. Alors ce document nous montre de manière implicite comme on vient de le voir le rôle de la gratuité de l’école pour sa démocratisation mais il affirme donc explicitement la méritocratie du système grâce au taux d’accès au baccalauréat ne dépendant ici absolument pas de l’origine sociale : les individus d’origine agriculteur et exploitant ne sont qu’à 0.3 points de pourcentages de réussite que les individus d’origine cadres au bac général en 2018.

        Enfin, à différencier de la massification, l’école s’est démocratisée en élargissant les individus qui seront touchés par l’égalité des chances, ici la femme étant l’un des exemples le plus concret. Car en effet cela veut dire qu’une femme aura autant de chance de réussite qu’un autre individu et ici on peut citer la loi Duruy obligeant des écoles pour fille et la mixité en école primaire en 1969, ainsi le document 3 nous dit également « il faudra attendre le Second Empire pour que quelques femmes puissent accéder au baccalauréat » l.22, ceci s’intègre donc à la démocratisation de l’école.

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