Les phénomènes et mécanismes de contre-vérités : le complotisme et le révisionnisme, les « fake news ».
Dissertation : Les phénomènes et mécanismes de contre-vérités : le complotisme et le révisionnisme, les « fake news ».. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar LIAL.OQBAH • 16 Novembre 2022 • Dissertation • 774 Mots (4 Pages) • 1 774 Vues
Thème : Les phénomènes et mécanismes de contre-vérités : le complotisme et le révisionnisme, les « fake news ».
De nos jours, une partie de la population doute de plus en plus des médias et de leurs contenus. Celle-ci peut penser qu’il s’agit de complotisme, qui est une idéologie des complotistes. Alors que certains croient tous ce qu’ils voient et ce qu’ils entendent mais il ne s’agit pas toujours de la vérité. Ils peuvent partager sur les réseaux ce qu’ils ont lus, vus et entendus, facilement sans vérifier leur source. Cela peut devenir viral et ainsi créer des « Fake News », qui sont des nouvelles mensongères diffusées dans le but de manipuler ou tromper le public. On peut également parler de contre-vérités, c’est-à-dire une affirmation visiblement contraire à la vérité. Nous allons expliquer comment les internautes se font avoir par les phénomènes et mécanismes de contre-vérité.
Nous allons commencer par expliquer ce que sont les « Fakes News » et comment elles fonctionnent. Pour traduire proprement de l’anglais au français ce sont des « fausse nouvelle » mais les Fakes News vont encore un peu plus loin que ça. En effet, ces nouvelles, ou informations, ont pour but de manipuler et tromper le public en les menant sur une fausse piste. Afin d’arriver à ce résultat, nous pouvons trouver plusieurs procédés. Le plus souvent, dans les fakes news, nous trouvons des titres accrocheurs, qui attirent le regard, l’attention du lecteur. Par moment, ces titres sont assez farfelus, surprenant et très souvent mensonger. Mais c’est fait uniquement pour attirer le lecteur. En France, nous pouvons savoir qu’approximativement 53% des français partagent les informations sans pourtant vérifier la source.
De plus, les fausses informations, les « Fakes News » ont énormément augmenté depuis l’apparition d’Internet et plus spécialement des réseaux sociaux.
Les réseaux sociaux peuvent être définis comme la source d’information principale pour les moins de 35 ans. Ils touchent donc un public plutôt jeune. Pour ce qui concerne les Fakes News sur les réseaux sociaux, il est beaucoup plus facile pour l’une d’entre elle de se propager dans le monde entier grâce ou plutôt a cause des réseaux sociaux. De plus, il est plus facile de croire quelqu’un derrière un écran cachant voire faussant son identité. Par exemple, il est facile de se faire passer pour un scientifique , un chercheur ou n’importe quoi sur internet sans avoir forcément a le prouver a ceux qui vont nous lire ( Contrairement a la réalité où l’on aura tendance a beaucoup plus demander de preuve a la personne face à nous ). Suivant cette logique, il est facile de fabriquer des informations sur Internet et utiliser ces informations justes pour augmenter le nombre de lecteur et de partage pour que celles-ci deviennent viral.
Ces « Fakes News » peuvent entraîner, chez une partie de la population, l’envie de croire ce que l’on appelle les théories du complot.
Une partie de la population mondiale sont donc des complotistes, c'est-à-dire qu’ils croient a une théorie du complot. C'est-à-dire, que la population pense que certaines actions de groupe (politique, par exemple) est planifié et n’est pas du hasard. Nous pouvons retrouver énormément de théories du complot plus ou moins différentes à travers le monde. En prenant l’exemple de la France, nous pouvons retrouver 79% des français qui pensent à une théorie du complot et nous trouvons 21% qui pensent à au moins 5 théories du complot. Certaines théories ne sont pas toutes étrange, farfelus et peuvent se tenir sur des faits « fondés ». Simplement que les informations, sur lesquelles les complotistes en question s’appuient, sont sur-interprétées.
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