La Construction d’une identité alimentaire national

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CULTURE GENERALE ET EXPRESSION

ABDOU EL KADIRI Brigitte

Questions :

1. Préparation de la synthèse de documents

1°) Le document est un article écrit par Alexandre D., avec comme titre « La Construction d’une identité alimentaire national », publié en octobre 2009 sur le blog Blog della identità alimentari , ici il s’agit surtout d’un article argumentatif qui s’interroge sur la façon que se construit l’identité alimentaire  national, c’est-à-dire les conditions nécessaire, les moyens déployés, les acteurs participatifs, pour cela l’auteur s’appuie sur l’exemple de la Belgique.

• Ici on peut voir que le lien entre un pays ou une nation et son alimentation est vraiment réel, elle peut devenir un cliché comme par exemple aux Etats Unis on mange que du fast food et du gras ou encore en Italie on mange que des pizzas et des pâtes à la sauce bolognaise.
• Les acteurs de cette identité alimentaire national sont les cuisiniers, les écrivains, les commerçants et les consommateurs qui ont un rôle dans l’identité culinaire d’une nation ou d’un pays. Les cuisiniers s’occupent des recettes traditionnelles de la région ou du pays, l’écrivain parle ou critique la nourriture, les commerçants mettent en avant les produits locaux pour vendre et les touristes découvrent les produits locaux.

2°) Le document « Les arts culinaires : patrimoine culturel de la France » est un rapport d’information sénatorial publiée en juillet 2008 par Catherine Dumas. Il s’agit ici de la diversité et de la qualité de la cuisine française, que ce soit au niveau des produits, du savoir-faire et des métiers, l’auteur étudie aussi dans une autre partie l’impact de la cuisine sur l’économie, le tourisme et l’image que véhicule la France dans les pays étrangers.

• Le rapport souligne la diversité des produits mais aussi des métiers qui y sont associés. Ici, il n’est pas juste question de cuisines, mais aussi de bien propre, de richesse qui nous vient par héritage, la cuisine française vient tout d’abord de la position géographique où se situe la France mais aussi a une longue tradition entre l’Homme et la nature.
• La cuisine française est le « phare de la cuisine mondiale », c’est un atout pour valoriser et développer le pays. La France a une grande renommer, les étrangers sont curieux du savoir-faire français, ils viennent en France autant pour le patrimoine historique que le patrimoine culinaire. La France attire millions de touristes chaque année, qui entraîne un impact économique sur le pays, la cuisine est un art véritable incontournable qui donne à un pays une identité unique.

3°) Le document est un article intitulé « Quand un maire italien traque la cuisine « ethnique », mis en ligne en février 2009, sur un blog du site Libération.fr. Cette chronique informative d’Eve Mongin, qui a pour but d’attirer l’attention sur les dérives xénophobes, il s’agis ici d’une hostilité envers tout ce qui est étrangers qui viennent par la vision que les italiens ont de leur cuisine et de celle des étrangers.

• L’auteur nous explique que les italiens très fiers de leur gastronomie sont très peu ouverts à la cuisine mondiale, contrairement aux chefs français toujours curieux de nouveautés. Ce manque d’ouverture des italiens peut se traduire par le fait que l’immigration est faible et non désirée. Afin d’illustrer ses propos, l’auteur cite l’exemple du maire de la ville de Lucca, qui a décidé d’interdire sa ville à la restauration étrangère qualifiée d’« ethnique ». Mais ce que le maire de Lucca semble oublier, c’est que le couscous, ce plat ethnique, est une fierté de la gastronomie sicilienne, fêté lors d’un festival, souvenir de lointaines occupations arabes.

Travail préparatoire de structure :

5°) Les points communs entre ces documents ici sont les liens qui existent entre l’alimentation et l’identité national, les documents montrent que l’alimentation fait partie de la culture d’un pays et de son patrimoine, elle peut participer à un rayonnement culturel d’un pays mais aussi à son économie.

Le premier thème ici est le produit terroir, c’est-à-dire que s’il y’ a une identité nationale alimentaire, celle si se fait à travers des recettes et de produits présentés comme des spécialités, donc chaque pays aurait des plats et des aliments emblématiques, et pour ceux qui n’en ont pas le premier document donne des stratégies pour en fabriquer comme un ajout d’ingrédients considérer comme national comme par exemple en France ou l’on peut en relever beaucoup comme le vin ou encore le fromage par contre en Italie c’est le troisième document qui nous montre que les Italiens  sont attachés à leurs produits et refusent l’entrée de nouveaux ou d’autres produits.

Le deuxième thème ici serait de l’intérêt économique et commercial de l’alimentation, dans le document 2 ces intérêts sont mises en avant car la culture culinaire crée des emplois avec la diversité des produits et des métiers, mais aussi des activités avec l’ouverture restaurants ou encore de café. Elle attire aussi naturellement les touristes qui veulent découvrir ce qui fait la particularité d’un pays.

Enfin, le troisième thème ici pourrait être celle de la lutte contre une certaine contrefaçon, comme on peut le voir dans le document 3, l’auteur dénonce l’attitude du maire de Lucca en Italie qui chasse les restaurants dits « ethniques » du centre historique de la ville, cette attitude peut aussi cacher peut-être de la peur de voir les produits du terroir détrôner par d’autres produits qu’il ne pourrait pas prétendre avoir fabriquer, comme on peut le voir chez les français qui protègent leurs produits grâce à des labels rappel le document 2.

6°)

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