Gouvernance de l’entreprise et transformation des structures financières

Chapitre 2: Gouvernance de l’entreprise et transformation des structures financières

Intro:

Approche chronologique.

Gouvernance entreprise est un terme qui est polysémique car la gouvernance de l’entreprise est une noytion micro et macro économique et il y a une dimension positive et normative. La définition la plus simple est la défionition positive microéconomique « la gouvernance d’entreoprisse s’est la structure et l’exercice du pouvpir au sein des firmes », on se demande qui prend les décisions qui permettent de fixé le processus productif ?

La gouvernance d’entreprise à aussi une dimension économique ‘la gouvernance est un systeme national ou sectoriel de controle des entreprise ». Derrière cette deffinition il y a l’idée que cette gestion du pouvoir est déteriné par un cadre légal, ce n’est pas une décision propre à la firme. Il peut donc avoir des différence de gouvernece d’entreprise selon les pays.

Il y a aussi une dimension normative. Certains auteurs comme Shleifer et Vishny définissent la …. Comme « l’ensemble des moyens utilisé par les actionnaire pour s’assurer de tiré un revenus du capital qu’il mettent à disposition de l’entreprise. Donc pour eux le pouvoir doit revenir au actionnaire et le rôle de la gouvernance  est de s’assuré que les actionnaire ont le pouvoir. Dimension normative car ont dit qui doit géré al gouvernance.

Pour qu’il y ai analyse de la gouvernance on suppose qu’il y ai plusieurs prenant au sein de l’entreprise et qui sont potentiellement en conflit pour prendre le pouvoir. Historiquement la réflexion autour de la gouvernance est né ou la propriété est séparé de la gestion-, c’est à dire au moment ou les propriétaire ne gère plus l’entreprise (actionnaire ≠ managers). Il existe des conflit entre actionnaire majoritaire et minoritaire. Il y a enfin un conflit entre salarié et actionnaires.

Comment

Système financier: ensemble de règle, de pratique et d’institution qui permettent la rencontre entre les agents en capacité de financement(ménage et entreprise financière) et ceux en besoin de financement (APU, entreprise non financière).

Analysé le système financier signifie de prendre en compte le système de financement direct (par les capitaux), externe indirect (systeme bancaire). Depuis la révolution industrielle ces systèmes financiers ceux sont profondément développer. Au début XIXè le mode de financement principale étant l’auto financement on a pas besoin de rencontre ce qui fait que le systeme fiancier ne s’est pas développé. Le financement externe s’est développer à partir de la moitier XIXè, on est donc passé à un système financier externe.

La modificatioons des mode de financement a eu un impact sur les entreprise, la possibilite de recourir à un financement externe a transformé la structure financière de l’entreprise. Cela a poussé à la séparation entre propriété et gestion, ce qui a poussé à des conflits de gouvernance.  

La question de la gouvernance est liée au système financier. (étant donné l’évolution du systeme financiers il y a eu une évolution du capitalisme, c’est ce que montre L.Boltansky et E.Chiapello dans le nouvel esprit du capitalisme (1999) pour eux le capitalisme c’est « une exigence d’accumulation illimité du capital par des moyens formellement pacifique ». Pour eux le capitalisme est intéressant dans son esprit, l’esprit du capitalisme est pour eux toute « l ’idéologie qui justifie l’engagement dans le système capitaliste »,  l’idéologie c’est toute les pensée qui vont légitimés le capitalisme en disant qu’il est le meilleur système possible.

Cet esprit du capitalisme a pris trois formes depuis la RI:

-Début XIX jusque 1930, cet esprit est incarné par la réussite économique de l’entrepreneur, cet entrepreneur défend certaine valeur, il est dans une logique d’accumulation sans gaspillage, si le capitalisme survit au XIX ème siècle car il donne de l’importance a celui qui accumulé du capital sans gaspiller. Le problème est que cela ne fonctionne plus avec la grande dépression. 1929 est pour les auteur le résultat d’un détournement du système, la spéculation des année 20 crée une crise majeur (découle développement système financier)

-Année 30 il est incarné par les managers, c’est donc la capacité des managers qui gèrent les grande entreprise de généré de la croissance, cela va justifié le capitalisme, et notamment pendant les 30G. Dans ce cadre il faut donner le pouvoir au dirigeant. C’est leur main visible qui permet le bon fonctionnement du marché (Chandler). Mais il atteint ses limites pendant les crises de 1970’s (choc pétrolier), avec le ralentissement de la croissance, cet esprit ne permet plus la croissance il n’est plus légitime. Il est critiqué de manière artiste (celle qui est porté par les intellectuel, incite sur la nécessité de liberté le travailleur, critique du Fordisme, des OST qui sont vu comme une manière d’aliéné le travailleur qui nie sa liberté, il faut donc sortir de cette organisation du travail d’où la demande d’autonomie) et social (demande l’égalité, il y a eu un écart entre travail qualifié et non qualifié du au ralentissement de la croissance qui crée un chômage pour les second, il a donc une demande de sécurité pour permettre de légitimé le mode de production). C’est deux critiques se rencontre en mai 68, car c’est un moment de demande de liberté (étudiant) et social avec le mouvement ouvrier (garantie des salaires, emplois). Ces critiques vont conduire à transformé l’esprit du capitalisme.

-C’est le nouvel esprit du capitalisme, il a un poids de plus en plus important prit par la critique artiste dû au déclin de la classe ouvrière et du syndicat. Il va être porter par le travailleur autonome, c’est le travailleur capable d’initiative, comme porteur de projet. Le nouvel esprit du capitalisme va donc répondre à cette demande de liberté. Mais les année 70-80 sont des année ou le système financier est plus libre. Ce capitalisme donne plus de liberté au système financier en le dérégulant. A partir du moment ou les individus en capacité de financement peuvent faire ce qu’il veulent de leur épargne conduit à une monté du pouvoir des actionnaires sur les managers. On veut attiré les actionnaire surtout dans un contexte de globalisation financière. Mais le fait de ce centré sur l’actionnaire et le travailleur comme porteur de projet fait que ce nouvel esprit du capitalisme a augmenté les inégalité, il a répondu à la critique artiste mais pas social car la part de la valeur ajouté est déformé au profit du capital et à partir du moment ou on valorise le travailleur comme porteur de projet on valorise le travailleur qualifier. Il y a donc une montée des inégalité entre capital et travail et au sein du travail. Le nouvel esprit du capitalisme n’a pas mit fin aux critiques.

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