EC1 : Les grandes questions que se posent les économistes
Cours : EC1 : Les grandes questions que se posent les économistes. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar victoriaaaaa • 1 Septembre 2017 • Cours • 2 167 Mots (9 Pages) • 1 377 Vues
EC 1 : Les grandes questions que se posent les économistes
Homoéconomicus → relation coûts/ avantage
Notions : Utilité, contraintes budgétaires, prix relatifs, production marchande, valeur ajouté, production non marchande, salaire, profit, revenu primaire, revenu transfert, rareté, emploi, ressources.
- Dans un monde aux ressources limitées il faut faire des choix
- La rareté nous conduit à faire des choix
Doc 1, p.12 :
Léon Walras (1834-1910)
Economiste français, du XIXème siècle. Il redéfinit l’approche du choix du consommateur par « l’utilité-rareté ».
Le dessin fait référence à la société de consommation moderne. Il s’agit d’un autre niveau d’utilité. La société de consommation va transformer la vision, les choix des consommateurs. Les contraintes traditionnelles comme les contraintes budgétaires demeurent. Les ressources sont limitées alors que nos désirs sont illimités. L’individu va faire des choix. Conviction morale.
Rareté → La rareté désigne une situation dans laquelle nos ressources sont limitées au regard de nos besoins l’utilité c’est l’aptitude d’un bien au d’un service à satisfaire les besoins d’un agent économique.
Contrainte budgétaire → c’est la limite imposée par le revenu et par le prix de biens et services aux possibilités de consommation d’un individu (La contrainte budgétaire est plus faible pendant les soldes dû à une baisse des prix). L’élasticité revenu de la demande mesure la variation de la demande lorsqu’il y a une variation du revenu.
- Choisir, c’est comparer les coûts et les bénéfices
Doc 3 p.15 :
« Qu’est ce que l’utilité ? » est un extrait du livre Eléments d’économie politique pure, de Léon Walras, paru dans la première édition d’Economica en 1874.
Chez Walras, l’utilité va mesurer la satisfaction morale. L’homoéconomicus va relativiser à partir du prix. Le prix relatif va désigner le prix d’une unité d’un bien exprimée en unité d’un autre bien. Le prix relatif permet de hiérarchiser l’utilité de choses. Le coût d’opportunité c’est le véritable coût d’une chose, ce que l’on doit pour l’obtenir.
- Pourquoi acheter à d’autres ce que l’on pourrait faire soi-même ?
L’homme c’est spécialisé dans un type de production et ensuite il a décidé d’échanger ses produits ce qui est un gain de production. Cette spécialisation à multiplier ses échanges ce qui a permit de multiplier les biens et services.
- L’échange augmente la quantité de biens et services que l’on peut acquérir
Cf. fiche TD n°5
- Les premiers échanges s’effectuaient par les trocs via la monnaie.
Echange marchand → c’est une transaction volontaire entre deux agents impliquant la session d’un bien ou d’un service contre une contre partie monétaire ou sous forme de bien ou service (trop)
Echange non-marchand → il va s’effectuer sans contreparties directes (ex : les associations)
- Pour Adam Smith : « l’homme a un penchant naturel pour échanger »
[pic 1][pic 2][pic 3]
[pic 4][pic 5]
- Les gains à l’échange proviennent de la spécialisation
Cf. exposé de David Ricardo
David Ricardo (1772-1823)
- Son œuvre principale : Les principes de l’économie et de l’impôt, 1817
- Théorie libérable [pic 6]
- Défenseur des échanges
Jean Baptiste Say et Adam Smith (1723-1790)
Les avantages comparatifs
- Théorie développée au XIXème siècle
Bien à l’échange → il représente l’ensemble des avantages et profits, ils proviennent de l’échange et de la spécialisation. Ainsi les individus peuvent consommer plus de biens et services, plus diversifiés en autarcie.
Les gains d’échange proviennent de la spécialisation du travail, Adam Smith avait présenté les avantages des DIT (division international du travail). Chaque pays peut se spécialisé dans la production d’un certain type de bien, et pratiquer des échanges.
- Que produit-on et comment le mesure-t-on ?
- La diversité de la production
Biens → produits matériels (voiture, tomates, vache, cochon)
Services → production immatérielle (une coupe de cheveux)
Production marchande →biens et services destinés à être vendus contre un prix couvrant au moins les coups de production
On peut qualifier les produits selon s’ils sont marchands ou non marchands et si ce sont des biens et services
Production non marchande → biens et services qui ne sont pas destinés à être vendus. Ils sont fournis à titrer gratuit ou quasi gratuit (piscine municipale)
Il existe aussi des biens et services de consommation durable (une voiture). Et enfin, des biens et services de consommation non durable, détruit au moment de la consommation (du pain, le ticket de métro, le taxi).
La diversité des organismes de production :
- Les entreprises privées (elle appartient majoritairement a de actionnaires privés) / publiques (dont l’état est majoritairement propriétaire du capital de l’entreprise)
- Les associations
- Les services publics (état et administrations)
- Les ménages (colocations)
Doc 1, p.16 :
- En 2004 → 10€
En 2014 → 10€
- Les ménages achètent toujours la même quantité de denrées
- Mesure de la production
- Au niveau de l’Europe (micro économique)
Cf. voir schéma du « Partage de la valeur ajoutée »
Pour honorer raisonnablement autant les apporteurs de capitaux que ceux qui vendent leur force de travail. Jusque dans les années 80 la part réserver au travail est de plus en plus croissante. On est passé à une économie de marché qui va modifier les rapports de force. La part de rémunération du capital progresse. A partir des années 90 le partage de la valeur ajoutée devient conflictuel. Si la part de la valeur ajoutée attribuée aux salariés augmente :
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