Science DV9

Le document 1 présente le dosage des hormones ovariennes pendant un cycle normal (cas a). Nous pouvons

constater que durant les 7 premiers jours, les taux hormonaux sont très bas et plutôt stables. Puis la sécrétion de

FSH, qui permet la croissance des follicules ovariens, produit une importante dose d'oestradiol. Cela ce produit

juste avant la phase d'ovulation durant la première phase dite folliculaire. Nous pouvons aussi constater que le

niveau de progestérone est très bas jusqu'au 14ème jour. Après l’ovulation (14e jour), le taux d’oestradiol diminue

et se maintien aux alentours de 80pg contrairement à la progestérone qui augmente progressivement. L'oestradiol

atteint son niveau maximum au 22e jour du cycle. Puis les taux d'hormones ovariennes chute en fin de cycle de

par le corps jaune.

Le cas des deux patientes ( cas B et C ) démontre une sécrétion hormonale anormalement. Le taux

reste très bas durant tout le cycle.

Ces causes d'infertilité peuvent venir d’un

dérèglement de l'hypophyse qui ne stimule pas les

ovaires comme il faut ou bien des ovaires qui ne

fonctionnent pas.

Après l’observation de la coupe de l’ovaire de Madame A, nous pouvons constater qu'il y a une absence

de follicules. Les follicules étant primordiale pour la sécrétion des hormones ovariennes, Madame A est

stérile. Le dosage des hormones ovariennes de Madame A confirme cette malformation.

Madame A est définitivement stérile.

L'observation de la coupe de l'ovaire de Madame B quant à elle démontre la présence de follicules

primordiaux, mais ceux-ci ne sont pas développés normalement.

En effet Madame B, les follicules ne se transforme pas sous la stimulation de FSH. Nous

pouvons supposer que l’hypophyse de Madame B est au repos.

Le médecin pourra proposer un traitement hormonale hypophysaire afin de relancer le cycle normal de Madame B.

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