Étude sur "les lois" de Platon ( extrait livre II)

Le texte est un extrait de l'œuvre des Lois rédiger par Platon. Ce texte traite de l'éducation pour fonder une Cité ou règne en maitre l'excellence et apprendre à ce contrôler, notamment pour notre penchant pour le plaisir. Cependant, il semblerait que tout individus dans son jeune âge ne se contrôle pas forcément et semble ainsi porter sur l'agitation et les mouvements.

On peut librement se demander si on doit réprimer l'agitation dès le plus jeune âge. Ou alors, est que c'est un acte que l'on pourrait considérer comme déviant et qu'il faudrait punir ? Ce trouble du comportement est il commun atout les animaux ? Qu'est qui différencie un être humain d'un autre animal ?

Le thème de ce texte semble être le naturel, qu'est qui n'est pas réprimandable car naturel et qu'est qui différencie l'Homme des autres animaux. La thèse de Platon semble être

Explicite dans ce sens, les animaux ont tendances a se mouvoir durant leurs jeunesse. En revanche, il semblerait que les êtres humains est la spécificités de coordonnés leurs mouvements ainsi que leurs cris donnant naissance à la danse et au chant.

Au début du texte, Platon nous présente les croyances des Grecs, notamment

en

Présentant deux Dieux du panthéon grec : Apollon et Bacchus également appelé Dionysos.

Il est aussi fait mention des " Muses", bien qu'elles ne soient pas des déesses a proprement parler, elles appartiennent à la culture polythéiste des Grecs puisque selon les récits, elles sont sous les commandement d'Apollon , mais il possible quelles suivent Bacchus parfois, notamment dans ses tours du Monde. Ces trois antités divines seraient présentent entre autres pour soulager la peine et la souffrance des mortels. D'après l'auteur, les Dieux seraient émus de la condition humaine et auraient fait des jours de fêtes en leurs honneurs des jours ou les Hommes ont le possibilité de s'amuser et de se libérer de l'emprise du travail sur eux pour quelques heures. Cette mentalité aurait été reprise par d'autre culture notamment par les trois grandes religion monothéiste: le Christianisme, l'Islam et le Judaïsme.

Pour les Grecs, le plaisir ne pouvait être dissocier de l'art. Ce dernier est représenter par Apollon et ses Muses car chacune d'elles incarner un art particulier. La présence de Bacchus dans le texte nous laisse penser que les fêtes sont également un temps ou l'ont peut atteindre l'ivresse car Bacchus est le Dieu du vin, du vignoble et de l'ivresse mais c'est également le Dieu de l'exagération et de la violence d'une certaine manière. D'après Platon, les fêtes seraient présentent pour balancer notre perte d'éducation. Ces pertes qui seraient notre penchant pour les plaisirs considérer comme malsains. Les fêtes qui sont religieuses, seraient des symboles d'apprentissages et de savoir. Elles seraient saines et ne seraient pas une contradictions avec notre vertu, ni notre morale. L'art serait un moyen d'éduquer les citoyens et les mener à la vertu . Mais, on peut se demander quels sont les intérêts des Hommes à tendre vers la vertu et tourner le dos aux vices.

L'expression "lorsqu'il est jeune" sous entendu qu'il y a deux périodes dans la

vie: la

Jeunesse où l'on découvre et se qui viens après avec le savoir et la maitrisé. Cette inclination à démontrer quelque chose qui semble naturel est la preuve que l'auteur souhaite convaincre le lecteur de la véracité

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