À quoi sert la morale ?
Chronologie : À quoi sert la morale ?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Nadine Bouzeghaia • 24 Octobre 2020 • Chronologie • 2 412 Mots (10 Pages) • 808 Vues
À Quoi sert la morale ?
Être bienveillant : capable de se soucier d’un autre que soi
La sympathie qui est susceptible de nous unir là où la morale de Gygès le condamnait à être solitaire : séparer des autres
La morale étant : multiplication du bien-être il n’y a pas de multiplication sans quantification
Comment être sûr que le bien être ou le bonheur se mesure ?
Qui prône l’altruisme ? n’est-ce pas foncièrement égoïste de prôner l’altruisme ?
C’est une manière de demander à l’autre de négliger son profit
Alors si la morale n’est pas profitable
Peut-être que la morale n’a pas grand-chose à voir avec le bonheur ?
Peut -être qu’elle sert à une forme d’ordre ?
Harmonie : ordre de dimension esthétique ?
La morale harmonise ou met en ordre ?
Qui aurait intérêt aurait intérêt a ce que nous soyons morale ?
II. Le Bonne Ordre
La morale prend le relais de l’intérêt et elle sert bien des intérêts qui sont objectif, supérieur a mon petit intérêt égoïste, l’homme morale il se souci de ceux avec qui il vit avant de se soucier de lui-même.
On peut tirer parti des générations précédente, un progrès de la morale : égaliser les intérêts qui suppose une culture de la sympathie et de la rationalité
Mais à quoi sert la morale ?
À-t-elle une utilité réelle ?
Thèse de Mill : oui
Ou n’avons-nous pas à faire à une instrumentalisation de la morale ?
(Instrumentalisé : faire servir une chose, en captant ce dont elle est capable et donc ce qu’elle est pour la mettre à profit pour des fins extérieur, étrangère à ce qu’elle est)
Instrumentalisation : quand il y a un détournement, une dénaturation, elle porte atteinte à l’être de la chose.
ANNA Harette : l’usage de la culture a des fins de représentation sociale, se servir de livre/art (objets de contemplation) pour parfaire la société, elle porte atteinte à l’être de la chose, on a du mal a faire usage de sa valeur propre et l’usage fait
Nietzsche : La valeurs de la valeur ?
(Idole ; ceux à quoi l’on croit à qui on se rapporte avec vénération elles sont sacrées)
Nietzsche occulte les idoles pour savoir si elles sonnent pleins (c’est des bonnes) ou si elles sonnent creux (là on a intérêt à les casser et plus les idolâtrer)
Il dit « Il y a plus d’idole que de réalité » : ceux à quoi l’on croit c’est ce qu’on interroge plus. (Science, religions..)
L’idole des idoles : la valeur des valeurs : c’est le bien
Qui a la réponse ?
C’est la morale
Interroger cette valeur revient à : À quoi sert la morale ?
Qui nous le dit ? : Nietzsche s’interroge
Ce que produit la morale sur nos conduites ?
Qu’est-ce que cela produit la morale.
L’adjectif bon ?
Ex : Pétain il produit un ordre : qui n’est pas bon, donc pas morale
La morale doit avoir un ordre bon
- La responsabilisation ou l’économie de la contrainte
L’appréciation de la bonté morale, même si les utilitaristes nous apprennent a nous focaliser sur les conséquence
Le Christ vu dans l’ex précédent, il le fait immédiatement, l’altruiste serait l’amour du prochain et donc l’achèvement de l’altitude altruiste
La moralité : enraciner l’innocuité
Qu’est-ce qu’on gagne en enracinant dans le sentiment ?
On y gagne qu’agir moralement c’est agir par soi-même et là on peut mettre en parallèle le morale et les religions
D’autres institution utile pour produire un ordre ? (Exemple : police)
La religion : il y a un calcul, une économie de la menace et de son corolaire, de récompense.
La religion contribue, à obtenir des individus un comportement conforme c’est à dire un comportement non déviant, et ce qu’il y a de commun avec la morale c’est l’intériorisation de la morale, ce n’est pas le corps qui se conforme à une conduite mais c’est ma conscience qui fait que j’obéis de moi-même a une règle et en faisant ça on a pas besoin de gendarme.
(Injonction : à responsabiliser les français, il y a une pédagogie on nous apprend et nous explique que si on aime papi et mamie il fait être responsable)
La morale ressemble à la religion, elles se ressemblent mais se dissocient.
La morale peut prendre la forme d’un tribunal intérieur,
(Avec cette intériorisation qui prend la forme d’un acte volontaire) si l’on déroge à la règle la sanction est immanente : c’est le remord qui laisserait croire que le crime ne paie pas.
Vocabulaire de la rectitude dans la morale ; ce qui est droit est ce qui est conforme, la morale sert justement à avoir des intentions droites pour avoir un comportement régulier (conformité à la règle : régulier / une uniformisation)
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