« sur le rêve » de Sigmund Freud.

Bonjour je vais vous présenter « sur le rêve » de Sigmund Freud. Freud est un neurologue autrichien, il est le fondateur de la pychanalyse.

« Sur le rêve » est un court ouvrage de psychanalyse publié en 1901 quelque mois à peine après la publication de son œuvre « l’interprétation du rêve. L’inventeur de la psychanalyse revient dans cette essai avec le plus de pédagogie et de simplicité possible sur les mécanismes de formulation de nos rêves tel que le déplacement, la situation onirique et l’élaboration secondaire et sur le sens qu’on peut leur attribuer par l’analyse. Freud passe en revu chacun des processus qu’il a identifié en nommant définissant et illustrant au travers d’exemple issus de ses propres rêves de ceux de sa famille, ses amis et également ceux de ses patients. Il ouvre même une porte sur l’exploration de l’inconscient dans une signification plus large. Ce livre a pour objectif de promouvoir ses découvertes ainsi que la psychanalyse. Ce livre est composé de 13 chapitres le nom des chapitres ont été donné par l’éditeur et non par Freud lui-même. Je vais ici m’attacher à vous présenter 4 chapitres

Freud consacre son premier chapitre a la littérature scientifique sur les problèmes du rêve. Depuis plus de 2000 ans les rêves sont considérés comme des manifestations de puissance supérieurs démoniaques ou divines. Aujourd’hui la mythologie à laisser place à la psychologie. Les scientifiques cherchent à comprendre le rêve Freud en relève 3 approches. Une approche philosophique pour laquelle le rêve permet de séparer l’âme du corps. Une approche scientifique pour laquelle le rêve est influencé par les stimuli extérieurs pendant le sommeil. Enfin nous avons une approche populaire pour laquelle le rêve a un sens et permet de prédire l’avenir grâce à son interprétation à l’aide de symbole

Je vais ensuite vous présenter le chapitre 3 de l’ouvrage consacré au rêve des enfants. C’est cette étude des rêves de l’enfants qui paraissent dénués d’intérêts au premier abord qui lui a permis de comprendre que le rêve est un accomplissement de souhait.  Freud débute en nous présentant 3 catégories de rêves. Les premiers sont des rêves porteurs de sens et compréhensible, la plupart sont souvent courts et nous apparaissent en général peu remarquables parce que je cite « ils sont dénués de tout ce qui pourrait susciter l’étonnement ou le désarroi » La seconde catégorie présente les rêves qui ont une cohérence entre eux et un sens assez clair mais qui produisent cependant un effet déconcertant car nous ne savons pas comment intégrer ce sens dans notre vie psychique. Nous pouvons faire face à ce type de rêve lorsque nous rêvons d’un proche décédé sans qu’on y soit préparé. Ce qui a nous amène à nous questionner sur le sens du rêve et ce qui a pu nous amener à rêver de cela. Puis il finit par nous présenter le troisième groupe de rêves, ceux qui n’ont ni sens, ni compréhensibilité, qui nous apparaissent incohérents confus et absurdes. L’opposition entre les contenus manifeste et latent est particulièrement intéressante dans la deuxième et troisième catégorie de rêves. Concernant la première catégorie il est clair qu’elle ne requiert par le travail du rêve ni ne nécessite d’analyse et d’interprétation, on pourrait alors penser que cette première catégorie n’a aucun intérêt. Mais c’est pourtant cette catégorie de rêves que l’on retrouve beaucoup chez les enfants. Leur étude a permis à Freud de constater que les rêves de cette première catégorie sont de simple accomplissement de souhait dénué de voile, ce sont des rêves qui accomplissent des désirs sans aucune censure. Il nous donne donc certains exemples de rêves qu’il a recueillis auprès d’enfants. Freud donne l’exemple d’une petite fille de trois ans qui avait fait dans la journée sur le lac une excursion qui n’avait pas durée assez longtemps à son gout car au moment de quitter le lieu elle se mit à pleurer. Le lendemain matin elle raconta qu’elle été allé au lac durant la nuit, elle avait donc prolongé cette croisière interrompue. Freud conclue dans ce troisième chapitre par l’idée qui y a une commutation une sorte de switch entre la réalité et le désir, entre un désir non accompli et son accomplissement.

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