Peut-on être heureux sans être libre ?
Dissertation : Peut-on être heureux sans être libre ?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar HAmzatns • 8 Mai 2021 • Dissertation • 3 076 Mots (13 Pages) • 1 000 Vues
Matthieu VIGILANT, TG5 12/20
Dissertation
Un effort de réflexion mais vous ne chechez pas assez à définir les concepts de liberté et de bonheur, sans ce travail il n’est pas possible de répondre à la question posée. Vous ne faites pas dans le II ce que vous prétendez faire. Le III est construit à partir d’exemples et non d’arguments.
La Finlande, l’Autriche, le Costa Rica, le point commun entre ces trois pays c’est que ce sont des pays où les habitants sont considérés comme étant les plus heureux du monde. Le World Happiness Report est une étude de l’ONU publiée chaque année. Cet indicateur nous montre que le bien-être et le bonheur en générale dans nos sociétés humaines contemporaines est un enjeux primordiale. En France, le président n’est pas élus pour ces qualités de seigneurs de guerre mais plutôt pour ces capacités à entretenir la paix toute en assurant le bien-être de sa population (dans la France actuel pour cet exemple précis). Le bonheur, un état dans lequel un individu ressent une pleine satisfaction à long terme. On aura tendance à dire que les hommes libres (jouissant de libertés individuelles) peuvent atteindre le bonheur car ils peuvent relativement faire ce qu’ils veulent. Machinalement, on associera la liberté au bonheur, la liberté sera une condition au bonheur d’un individu. Dans cette logique à l’opposé, l’individu confronté à une contrainte de toute forme ne peut être heureux car la contrainte nous empêche de réaliser ce que l’on veut faire et d’être ce que l’on veut être. On peut se demander si cette conception n’est pas erronée,incomplète ou mal formulée. Peut-on être heureux sans être libre ? Dans un premier temps on se demandera si la conception habituelle que l’on se fait du bonheur est vraie et se demander en quoi la liberté participe au bonheur. Dans un second temps on remettra en question cette conception et on se demandera si le bonheur du plus grands nombre réside dans dans la contrainte. Est-ce qu’en fin de compte l’illusion de liberté suffit au bonheur d’un individu ?
I- Les libertés participent au bonheurs des individus ?
Pour moi, lorsque l’on parle de liberté il faut d’abord amener une idée simple que l’on peut se faire de la liberté,c’est à dire un état dans lequel un corps n’est pas contraint par aucun éléments extérieur. Une liberté régit par la physique que l’on peut imager par le fait de renverser au sol un verre d’eau, l’eau coule sans que rien ne l’arrête et lorsqu’elle atteint le sol, elle continue de ce rependre, de s’écouler. Lorsque l’on applique cette idée à un individu, on arrive à la figure de l’Homme libre et de celui pieds et poings liées, enchaîner, réduit en esclavage. L’un, le premier s’il le désire peut consacrer du temps aux activités qu’ils aiment, apprendre ce qu’ils veut apprendre, vivre pour lui et faire ce qu’il le rend heureux. L’autre, de par ces entraves ne peut rien faire, même s’il désire quelque chose aussi fort que l’autre homme, la vérité est qu’il ne peut même pas se nourrir tous seul, le faite de survivre ne dépendra que de la bonté de ce qui lui procureront à manger. Lorsque l’on est pas libre, que l’on est un esclave, notre vie ne nous appartient plus. On est donc prêt à tout, même à aller contre nos valeurs moral, à mettre de côté notre fierté pour satisfaire les besoins de celui qui à notre vie en ça possession (plutôt pour conserver sa propre vie) . Pour conserver sa vie il sert les désire d’un autre au détriment des siens, à cause de ça il ne peut pas être heureux. Ici la mort est préférable à la vie d’esclave. Seul, l’instinct de survit ou l’espoir d’un jour pouvoir obtenir la liberté pour prétendre atteindre au bonheur va pousser l’esclave à continuer à vivre. C’est dans cette (laquelle ?) configuration que le choix du leader est important dans les sociétés humaine. En temps de conflit, ou même de guerre, élire (sont-ils élus ?) un seigneur de guerre, un combattant, et un moyen pour le peuple de s’assurer que la guerre soit gagner et de ne pas être le peuple perdant qui devra se soumettre au peuple gagnant. Pour les Hommes libres, conserver sa liberté est quelque chose qui peut le pousser à faire la guerre, à utiliser la violence.
L’esclavage existe toujours dans certain pays de notre monde actuel. Cependant dans les pays développés démocratiques le concept de l’Homme contraint persiste dans les théories de lutte des classe de Karl Marx. « Si le ver a soie filait pour joindre les deux bouts en demeurant chenille, il serait le salarié parfait » c’est ainsi que Karl Marx décrit dans Travail Salarié et Capital les prolétaires de la Révolution industrielle allemande des années 1850. En effet par leurs rôle dans le processus de production certains Hommes ne sont plus détendeurs de leurs forces de travaillent et de leurs corps. Définir cette notion me permet surtout d’amener la notion idéologique de la privation de liberté. En effet les contrainte qui empêche les Homme d’être heureux peut-être physique mais aussi mental, symbolique ??, juridique. Le bien être d’un individu peut être empêcher par un asservissement dans lequel la société nous met. Des étude sociologique nous montre que les gens occupant une position sociale basse ont moins de temps libre à accorder à des loisir car leur travail, souvent physique et répétitif fatigue énormément leur corps et leurs psyché. Le temps libre nécessaire pour pouvoir faire ce qui nous rend heureux n’est pas également répartit dans la société. Les cadres qui souffrent moins de ce se problème peuvent plus consacrer de temps dans quelque chose qui les rendent heureux. Dans les sociétés humaines tous le monde n’a pas un égale accès au bonheurs. On peut se demander si celui qui ne vit que pour lui en faisant abstraction de toute les contrainte qui l’entoure peut être heureux.
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