Nietzsche

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Léducation est une transmission du savoir et des connaissances afin de déboucher sur une spécialisation nous permettant de remplir des fonctions au sein de notre société. Nietzsche pense autrement que le système éducatif actuel de l'époque et d'aujourd'hui même. Il avance que cette dernière devrait ouvrir sur le vrai soi et le développer afin de s'épanouir personellement. l'Education démocratique empêche-t-elle à l'individu de devenir ce qu'il est ? Dans un premier temps, nous aborderons le theme des faux privilèges de l'enseignement supèrieur. Dans un second temps, nous verrons la différence entre profession et vocation.

En effet, l'ensegnement supèrieur , de son nom, désigne une instruction plus élitiste, qui forme les meilleurs et les place plus haut dans la société. Cet enseigbement devrait être un privilège, comme le dit Nietzsche, quelque chose qui est réservé à peu de personnes. Mais étonnement, l'enseignement supèrieur est une instruction de masse, généralisé, elle n'a plus rien d'un privilège ou d'une élite. L'auteur catégorise cette institution de "dressage brutal", autrement dit, il compare ceux qui s'y instruisent à du bétail. Ici, l'homme est considéré comme animal. Ce "dressage" à pour but de former l'homme dans les plus brefs délais, pour ne pas perdre d'argent car l'instruction a un cout par personne à l'etat. De plus, l'enseignement supèrieure est déja une institution de masse mais elle est aussi dite "engorgée" par les privilèges miltaires. L'institution est surchargée et entraine le déclin de la culture car la qualité de l'apprentissage se fait de moins bonne qualité. Une éducation n'est plus aussi agréable a recevoir.

Nietzsche affirme que Le système, la facon d'enseigner, et les but de l'instruction ne sont pas adaptés à l'épanouissement de l'individu mais aux besoins de l'état. Il le forme afin de l'exploiter et le rendre utile, l'Homme doit être le plus productif possible et le plus rapidement afin d'être exploité et utilisé et d'être une source d'entrée d'argent de plus pour la société et la servir, il est soumis à l'état par sa profession. Ses études servent uniquement à trouver un "travail pour manger", qui ne sert qu'à faire rentrer de l'argent. hors l'instruction devraitpermettre à développer la culture, enrichir l'homme et le guider vers l'émancipation personelle. L'homme devrait trouver sa vocation, la chose dans laquelle il est doué et prend du plaisir a éfféctuer, qu'il continue perpétuellemnt d'apprendre sur ce sujet et ne cesse de s'instruire en s'épanuissant. La société considère que si l'on ne suit pas un processus précis d'apprentissage, que l'on est pas encore apte, ou qu'on ne sait pas ce que l'on veut faire professionellement parlant, plus tard, l'individu est déffectueux et sort de la masse. Alors que l'auteur avance que ces individus déffectueux sont justement ceux qui sont supèrieurs car ils cherchent une vocation et pas une profession, une fonction dans laquelle ils s'épanouissent. L'apprentissage se fait

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