Mise en activité - Empirisme et rationalisme
Étude de cas : Mise en activité - Empirisme et rationalisme. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar sooringan • 23 Avril 2019 • Étude de cas • 850 Mots (4 Pages) • 531 Vues
Philosophie
Mise en activité – Empirisme et Rationalisme
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1er texte : Locke
Question 1
La phrase contenant la thèse de Locke se situe à la ligne 6 : « […] l’expérience : c’est là le fondement de toutes nos connaissances, et c’est de là qu’elles tirent leur première origine. »
Question 2
La première partie de ce texte correspondrait au premier paragraphe. Dans cette partie, Locke introduit le sujet de son essai, en établissant sa définition de l’âme, en problématisant le sujet et en posant sa thèse. Nous pourrions donc nommer cette partie : « Introduction à l’entendement humain ».
La seconde partie de ce texte conviendrait au second paragraphe. Dans cette partie, Locke défini clairement la première source de nos idées, qui est la source sensible, c’est-à-dire les objets extérieurs qui agissent sur nos sens. Nous pourrions donc appeler cette partie : « Le sensible, première source de nos idées ».
La troisième et dernière partie de ce texte correspondrait au troisième paragraphe. Dans cette partie, Locke définie la deuxième source de nos idées, qui correspond à la réflexion. Nous pourrions donc la nommer « La réflexion, deuxième source de nos idées. »
Question 3
Les termes « d’idée » et « d’expérience » sont des termes centraux du texte de Locke. En effet, Locke définie l’idée et l’expérience comme deux faits indiscernables, qui marchent l’un avec l’autre comme un lien de cause à effet. L’expérience est, pour Locke, « […] le fondement de toutes nos connaissances. » Cette expérience peut être sensible ou réflexive, mais est la seule et unique source des idées d’un homme pensant. Les expériences sont des faits naturels et indispensables, qui sont comme les matériaux qui enrichissent notre âme avec les idées qui en découlent.
Question 4
Les opérations intérieures de notre âme, selon Locke, désignent toutes les actions de notre esprit qui découlent de nos sens. Toutes les idées qui se rattaches aux objets sensibles et extérieurs sont production de notre âme (le fait « apercevoir, penser, douter, croire raisonner, connaitre [et] vouloir » en font partie.)
Question 5
Les idées qui ne sont pas des copies de sensations sont les opérations intérieures de notre âme qui ne découleraient pas de nos sens.
Question 6
L’esprit est, d’une part, comme un logiciel qui traite les informations grâce aux données qu’il contient. En effet, sans données ou connaissances, l’esprit ne serait pas capable de traiter les informations de façon personnelles, et serait toujours dans l’objectivité, dans l’impersonel. En ayant des idées objectives, l’homme ne pourrait se construire une personnalité ou des avis propre à lui-même.
D’une autre part, notre esprit serait comme un morceau de cire, dans lequel on encrerait nos expériences personnelles et sensibles, afin de pouvoir anticiper des situations, et donc de pouvoir réagir en conséquence
Donc, selon moi, notre esprit serait à la fois comme un logiciel qui traite les informations grâce aux données qu’il contient mais aussi comme un morceau de cire. D’un côté il y aurait une partie de notre esprit qui traite nos perceptions : ce qui est utile et non utile, afin que l’homme puisse se construire; puis d’un autre côté, notre esprit serait comme de la cire : capable de se remémorer toutes nos expériences et les conclusions qu’elles nous ont apporté afin de nous affirmer et d’évoluer.
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