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L’hypothèse de l’inconscient remet-elle en question la liberté de l’homme ?

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Par   •  19 Mai 2021  •  Cours  •  323 Mots (2 Pages)  •  761 Vues

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La liberté et l’inconscient

L’hypothèse de l’inconscient remet-elle en question la liberté de l’homme ?

Freud l’inconscient :

Sigmund Freud, « L’inconscient » (1913) :

Dans le cadre de la médecine psychanalyste, Freud a le souci d’expliquer certaines maladies, certains symptômes en fonction de l’histoire personnel des patients au lieu de les renvoyer dans des causes organiques comme la médecine traditionnelle. Ces symptômes expriment une douleur refoulée et c’est le corps qui exprime les maux. La conscience est lacunaire, elle comporte des lacunes, on a Alzheimer zebi. Les rêves sont la voie royale à l’inconscience. Les rêves expriment quelque chose que l’on n’arrive pas à assouvir dans notre vie quotidienne, on ne rêve pas de quelque chose par hasard. L’inconscient ruse pour nous mettre face à face avec une réalité que l’on a refoulée. Cela trahit notre vrai désir.

Freud comparait le psychique humain à un iceberg, la partie émergée de l’iceberg correspond à la conscience et la partie immergée correspond à l’inconscience. L’inconscient est constitué par l’ensemble des souvenirs, des désirs refoulés.

Preuve de l’inconscient : rêves sont des désirs inaboutis dans la journée, les actes manques/lapsus Freud recluse l’idée dans laquelle nous sommes totalement claire au niveau de nos désirs et de nos preuves.

Freud distingue trois instances (parties) du psychisme humain :

- Le « ça » : cela correspond à l’inconscient, le réservoir de pulsions refoulés, il explique que c’est le principe de désirs qui est contredit par le principe de réalités. L’homme n’est pas spontanément un être doux, l’éducation va permettre de le moraliser.

- Le « Surmoi » : c’est ce qui représente les lois, les règles, c’est la morale.

- Le « Moi » : correspond aux pensées conscientes, il résulte d’un compromis entre le principe de plaisir et le principe de réalité.

Une patiente de Freud présentait des symptômes d’hystérie, Freud l’hypnotise et quand elle est sous hypnose elle dit qu’elle est tombée amoureuse de son beau-frère et sa sœur meurt

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