Le temps c'est de l'argent

Synthèse

L’ensemble du corpus ici proposé relève du thèse « A toute vitesse » et s’intéresse plus particulièrement aux l’immobilisation et ces conséquences. Les 3 documents relèvent de domaine aussi divers que journalisme et la photographie. Nous verrons en premier temps qu’il y a une forte revendication de enfin s’arrêter… pour en second partie tenter de déterminer le paradoxe entre ce qu’on pourrait penser et ce qu’il en est vraiment de conséquences de se ralentir la cadence.

D’emblée on voit avec le document 1 extrait France-Culture de Géraldine Mosna-Savoye publié le 9 mars 2018 que tout le monde veut mettre « ENFIN » un stop aux pratiques contemporaines. Ce dernier qui consiste à tout faire le plus vite possible. Mon peut apercevoir cette idée dès la première ligne « Ralentir, s’arrêter ». Ceci est d’autant plus souligné dans le texte par le vendredi. Où l’auteur demande à tout le monde de ce déconnecté après une longue et dure semaine d’activité. Le document 3 quant a lui qui une photo reprend fidèlement les notions du document 1 mais cette fois-ci en l’illustrant. En effet on constate ici des travailleurs qui ne demande qu’a ralentir la cadence et montre cela tout simplement en exécutant leur souhait. Dans le document 2, un autre magasine, Eve Ysern l’auteure de Tout va trop vite ! Et si on ralentissait, publié le 28 octobre 2013, met en lumière des dirigeants d’entreprises qui prennent l’initiative de conseiller leurs employés de se déconnecter au moment. Cela a été le cas du Boston Consulting Group (BCG) qui ont décidé que « tous serait injoignable dès 18h, un soir par semaine », mais aussi par exemple Henkel en Allemagne qui a mit en place une « trêve des mails entre Nöel et le jour de l’An ».

Et les retombés ont été jugé concluantes.

C’est avec cette idée là que nous nous penchons sur l’étonnante conséquence de ces initiatives prise qui sera notre deuxième partie.

Dans le document 2 se prononce le plus, sur les conséquences du fait de s’arrêter. On constate que, les résultats l’expérience se déconnecter a été concluante. En effet, 54% se déclare être satisfait de l’équilibre entre vie pro et perso mais ils ont jugé leur travail de meilleur qualité 65%. L’idée est simple, enfaite souvent voire toujours, faire une pause et revenir au travail nous aident dans un premier temps de se reposer de toute la lourdeur des taches mais surtout de revenir plus fort donc être plus productif. L’expression prendre du recul pour mieux rebondir traduit cette aspect-là. Et c’est tout là le paradoxe. La lenteur n’est donc pas perçue comme étant inefficace mais bien au contraire précieux et opérant. En effet, pour être plus efficace dans un monde toujours plus rapide il faut ralentir. Ce n'est pas parce qu'on agit plus vite qu'on sera meilleur, plus productif.

  L’ensemble du corpus donne ainsi une image assez positive de la lenteur en énumérant ces nombreux bien fait, mais aussi accenteur sur le paradoxe du fait qu’être lent inclus ainsi être efficace.

SARAMBOUNOU Mamadou BTS SIO

Écriture personnelle

Les documents du corpus de la synthèse nous exposent les vertus de la lenteur en indiquant que le fait de prendre sans temps est un moteur de pouvoir gagner en productivité et donc gagner du temps. Suite à ces idées, peut-on vraiment affirmer que le temps c’est de l’argent ?

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