Le beau dans l'art

Le beau est un terme abstrait que l’on a toujours cherché à définir à travers l’histoire.

Kant dis : est beau ce qui plaît universellement sans concept. Mais en réalité pour Kant il n’y a pas d’objet objectivement beau ni de définition qui fait l’unanimité. On peut dire que le beau est quelque chose d’harmonieux qui produit un sentiment de plénitude, qui nous touche intellectuellement et émotionnellement, le beau est un terme qui a été au cour du temps relié à l’art. L’art regroupe les œuvres humaines destinées à trouver les sens et les émotions du public. Il peut s’agir aussi bien de peinture que de sculpture, littérature, photo, dessin, musique … On appelle le jugement esthétique le fait de se prononcer sur la beauté ou la laideur d’un fragment du réelle.

Nous allons nous demander si l’histoire de l’art est l’histoire du beau. Pour ce faire nous construirons un développement en 3 temps : pour commencer, A première vue l’histoire de l’art représente  histoire du beau, puis, Mais le beau est subjectif et formel, et pour finir, En effet cette vision a changé au cour du temps.

I) L’HISTOIRE DE L’ART l’HISTOIRE DU BEAU

Dans l’histoire de l’art beauté rime avec Grèce antique. En effet l’art grec était considéré comme model de beauté tout au long de l’histoire comme par exemple avec « la Vénus de Milo » et « La victoire de Samothrace » qui conforte l’idée que les grecs ont inventé la beauté. Cet art considéré comme le beau tout le long de l’histoire a été pris comme model et donc cherché à être imité par les artistes du monde entier toutes époques confondus.               C’est notamment le cas avec la renaissance Italienne qui aurait retrouvé la beauté de la Grèce antique avec par exemple Le portrait de « Balclassar Castiglione » de Raphael.

On corrèle également le beau à la technique, l’idée que plus une œuvre est technique plus elle saura belle. Idée accentué à la renaissance Italienne avec l’invention de la perspective   dont Leonard De Vinci  est considéré comme le plus talentueux dans le domaine. Les œuvres avec de la perspective sont donc considéré pendant la renaissance comme belle, on peut également le voir avec « La Vierge et L’enfant Majesté »  de Cimabue, il est considéré comme pré-renaissance car on considère qu’il est es marche vers la renaissance, vers la perspective. Cette œuvre a été retirée par Napoléon en Italie mais, au moment de reprendre les œuvres volées par Napoléon, les italiens ne l’ont pas reprise car elle ne présentait pas assez de perspective et donc pas considéré comme belle à l’époque, pas dans l’ère de la renaissance

Nous avons vu que dans l’antiquité et la renaissance le beau est jugé objectivement que ce soit par des règles de proportion et d’harmonie ou par des techniques précise dans l’ère du temps

II) MAIS LE BEAU EST SUBJECTIF ET FORMEL

Le subjectif a 2 définitions, il veut dire qui est situé du côté du sujet et qui varie d’un individu à l’autre

Chacun a fait l’expérience de la relativité du beau et a constaté qu’il diffère selon les individus et les cultures. Une chose n’est pas belle ou laide en soi ; sa beauté ou sa laideur dépend de la sensibilité de l’individu. On observe que rien n'est plus relatif que les jugements de goût, qu'une chose n'est pas belle en elle-même, mais qu'elle est dite belle par ceux à qui elle plaît et il est parfaitement possible qu'une même chose plaise à certains et déplaisent à d'autres.

...