L’avenir d’une illusion, FREUD

L’avenir d’une illusion

Le texte “L’avenir d’une illusion” de Freud datant de 1927 traite de la culture par rapport a la nature, notamment la nature humaine, il explique que si il n’y avais pas cette culture, les Hommes ne pourraient pas cohabiter entre eux.

Grâce a la culture, les hommes peuvent cohabiter ensemble car elle a créé certaines règles que l’être humain doit impérativement se soumettre pour le bien de chaque individu, Il nous explique que sans cette culture ”on a alors désormais le droit de choisir pour objet sexuel toute femme qui vous plaît”(L3)

Nous allons dans un premier temps étudier la première phrase du texte “ Nous avons parlé d’hostilité a la culture, produite par la pression que la culture exerce par les renoncements pulsionnels qu’elle réclame”

L'hostilité a la culture, il s’agit d’un refus d’obéir, aux “lois” de la culture, lois morales qui sont pourtant vitales pour la cohésion sociale entre chaque individus.

Les renoncements pulsionnels que la culture réclame peuvent être mal vus par certaines personnes, refusant toutes lois, tels que les anarchistes, qui n’acceptent aucunes lois et considèrent que l’homme est bon par nature.

Nous allons expliquer la phrase “C’est précisément à cause de ces dangers dont la nature nous menace que nous sommes rassemblés et que nous avons créé la culture qui dont aussi, entre autres, rendre possible notre vie en commun”

Sans culture, nous serions réduits a une condition de bête, et la culture permet de nous unir face aux dangers de la nature, dangers de l’animalisation.

C’est en effet la tache principale de la culture, que de nous défendre contre la nature, car au fond la nature, et son animalisation, fait peur aux hommes, au point qu’il veuille s’en protéger.

Elle est vitale pour l’homme, car c’est elle qui différencie l’humain de la bête.

L’homme est tel qu’il est aujourd’hui car il a su développer une culture, et qu’il a commencé a vivre en communautés et a mieux chasser pour ce nourrir, puis en vivant en communauté, cela a aussi permis de mieux se connaître, par exemple lorsque les premiers remèdes (issus des plantes par exemple) ont été découverts.

Sur ce point, cela a été très bénéfique a l’homme, car l’espérance de vie a pu passé au fil du temps , de 20 ans, puis 40 ans , puis 60 et désormais avoir une espérance de vie de 80 ans.

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