La philosophie au-delà des préjugés
Dissertation : La philosophie au-delà des préjugés. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Julian Laly • 19 Mars 2019 • Dissertation • 1 749 Mots (7 Pages) • 575 Vues
I/ la philosophie au-delà des préjugés :
Avant de répondre à cette question, commençons par examiner les préjugés qui tendent à donner une image négative et fausse de la philosophie
La philosophie parait de l’extérieur comme une activité obscure et inutile par ce qu’elle porte sur des abstraction (c’est-à-dire à dire sur des concepts, par exemple : le bonheur, la liberté ou le temps)
Le préjugé commun en la matière est que ce qui est abstrait n’existe pas ou a moins d’existence que ce qui est concret, c’est-à-dire que ce qu’on croit appréhender immédiatement par les cinq sens.
Or, que nous en ayons conscience ou pas, tout nos pensées, toutes nos perception et tout émotions sont conditionnées par le langage (plus précisément, par la langue que nous parlons). Par exemple quand je vois un « pommier ». J’interprète ce que je perçois en le ramenant à un concept celui de « pommier ». Quelqu’un qui aurait vécu dans un désert sans jamais avoir vu un pommier ni même l’arbre, ne percevrait pas le pommier même si ses yeux fonctionnnent bien. Les mots grâce auxquels nous pensons et percevons renvoient à des conceprts qui sont par nature abstraits car généraux. Abstrait ne veut donc pas dire « flou » ou « confus », mais désigne ce qui ne peut être appréhendé que par la pensée (par exemple les nombres (les mathématique aussi ne s’occupent qu d’abstractions ) ou les concepts comme celui de bonheur).
C’est donc parce que nous parlons et pour apprendre à comprendre ce que disons que la philosophie trouve sa raison d’être. Comme le dire Wittgenstein au XXe siècle la philospphie est « clarification de la pensée »
- La philosophie consiste en premier lieu à se questionner :
On philosophe (en le sachant ou non), dès qu’on a le souci du sens de ce qu’on dit, c’est-à-dire dès qu’on se question au lieu de simplement bavarder ou/ et cherché a avoir raison
- La philosophie est liée au doute et à l’étonnement
Elle commence quand, d’une façon ou d’une autre, on commence à mettre en question le monde dans lequel on vit. Elle consiste a ne plus vivre simplement dans mon monde fait de mes pensées mes certitudes conditionnées par mon vécus, mais à chercer a vivre dans le monde. « S’étonner, c’est reconnaître sa propre ignorance » (texte d’Aristote)
En liant l’étonnement à la reconnaissance de sa propre ignorance
- faut il renoncer à ses désire ?
besoin = philosophique s’ils ne sont pas satisfait on peut mourir : manger, dormir
Secondaire : psychologie : affectif, social
Désir : proprement humain de la représentation , de l’intelligence réflexive, imagination (fantasme) + raffiné, créatif
(Etigue SPINOZA : le désir est l’éssence de l’homme. C’est que lui permet s’accomplir
Méthode de commentaire de texte
« Il vaut mieux êter un homme insatisfait qu’un porc satisfait ; il vaut mieux être Socrate insatisfait qu’un imbécible satisfait ». John Stuart Mill.
Pour analysé : il faut trouvé le thème, le stule, utilisé des repère (pour les définitions fines), regardé des références historiques (ex : le porc qui est utilisé par Platon (mythe de l’athelage/ mythe du tonneau de tanaides)), il le compare à l’homme intempérant.
Méthode de rédaction : par cet affirmation Jhon Stuart Mill, philosophe britannique utilitariste du XIXe siècle, avance un apparent paradoxe sur le bonheur : « il vaut mieux être un homme malheureux qu’un animal heureux ! ». tout être humain en effet recherche le bonheur, c’est d’ailleurs le but de la philosophie, or le bonheur peut se définir par une pleine satisfaction . selon l’opinion commune le bonheur est de satisfaire tout ces plaisir par des petits plaisirs. Faut t’il admettre qu’il faille d’être heureux par toutes les façons sachant que pour chacun, le bonheur sera différent ? est-ce que toutes les satisfactions se valle ? on entend souvent dire que l’homme ignorent est plus heureux que celui qui prend conscience des choses. On entend souvent dire que la conscience et la connaissance rend malheureux, et qu’il vaut mieux resté heureux dans l’irresponsabilité et l’ignorance, vivre sa vie intensément et satisfaire les besoins du corps. C’est se que refuse Jonh Stuart en supposant qu’un tel bonheur serait indigne de la grandeur humaine et que la seule satisfaction bestiale ne peut suffire au bonheur proprement humain lui a la soif de connaitre et aussi la responsabilité moral. Tout les satisfaction ne se valent pas les plaisirs de l’esprits sont supérieur a se du ventre
Pourle commentaire :
INTRODUCTION
QUESTION 1 :
- présenté l’auteur + l’œuvre
- Thème : : la vérité (message)
- Thèse : idée que défend l’aueteur pour résoudre le probléme
- Problematique : problème
- Plan = 3 parties (faire un plan détailllé au brouillon)
QUESTION 2 :
- Argumentation
Bac blanc
Chapitre 3 : Société et ETAT
IL MANQUE TOUT UNE PARTIE (PRBLM D’ENRENGISTREMENT)
I/ Aristote : l’homme est -il un animal politique ?
Mite prometé et : ces frères devait donné tous quelque chose a chaque etre vivant pour qu’il se défende mais quand vient au tour de l’homme il n’avait plus rien a donné, ils décident donc de voler le FEU au dieu pour qu’il puisse se protéger des autres, cuire sa viande et construire des armes. Ce feu divin va aussi donné la raison a l’homme. Quand dieu apprend que le feu a était voler il punis l’un des freres pour qu’il se fasse attaqué son foie (qui se regènere tout le temps ) par des oiseau. Dieu ensuite se dis qu’il faut donné autre chose au homme, il donne dont la politique et le juste (moral, BIEN/MAL) = société d’Etat équilibre au sein d’instituation (loi qui vont régulers les rapport et les échanges entre les hommes).
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