La crise actuelle entourant le COVID-19
Dissertation : La crise actuelle entourant le COVID-19. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Vũ Ngọc Bích • 10 Septembre 2020 • Dissertation • 1 083 Mots (5 Pages) • 616 Vues
Sujet: L’État québécois devrait-il restreindre certaines libertés individuelles, au nom de la protection de la santé publique?
La crise actuelle entourant le COVID-19
La pandémie de COVID-19 a bouleversé totalement tous les aspects de la vie de toute l’humanité. On trouve rarement que la santé publique devient en même temps la préoccupation et aussi le sujet controversé de tous les pays du monde. Au delà de l’inquiétude, la pandémie cause aussi le désespoir et la peur de mort chez plusieurs personnes. Dans ce contexte, les mesures de la santé publique (rester chez soi, distanciation sociale, fermeture des lieux publics, etc.) avaient déjà adopté par les autorités gouvernementales afin de protéger la santé et le bien-être collectif. Toutefois, plusieurs personnes ne sont pas d’accord avec le confinement, ils ne le respectent pas en dépit de la gravité de la situation, car ces mesures-là entrent en conflit avec leurs libertés individuelles. Donc, la question est posée et est devenue aussi le sujet des discussions: “L’État québécois devrait-il restreindre certaines libertés individuelles, au nom de la protection de la santé publique dans la crise actuelle entourant le COVID-19?”. Si on met cette question en perspective de la philosophie, c’est vraiment un problème controversé. Selon l’utilitarisme, “le principe fondamentale de la morale est la recherche du bonheur du plus grand nombre”, cependant, Nozick affirme qu’on doit respecter la liberté d’autrui.
Tout d’abord, “le principe fondamentale de l’utilitarisme est la recherche du plus grand bonheur du plus grand nombre”. Autrement dit, selon l’utilitarisme, il faut calculer l’utilité afin de trouver la meilleure option qui “présente un excédent maximal des plaisirs sur les déplaisirs”. En fait, dans ce contexte de la pandémie actuelle, toutes les mesures de la restriction de l’état comme la distanciation sociale, la fermeture des lieux public,... ont le but d’empêcher la propagation du virus. Selon la plupart des études scientifique concernant les modes de transmission du coronavirus, il se transmet principalement par voie respiratoire et par contact physique. En outre, on peut être infecté aussi le virus en touchant un objet contaminé, puis en touchant la main au visage (yeux, nez, bouche). Selon un article publié sur le site de journaldemontreal.com, les chercheurs constatent que le virus peut survivre environ 3 heures dans l’air, 24 heures sur des feuilles de carton et 2-3 jours sur des surfaces en plastique et en acier inoxydable. Donc, ces résultats affirme que la stabilité et le niveau dangereux du virus est très élevé. En fait, la crise qui est causée par le COVID-19 à Wuhan, son endroit d’origine de l'épidémie et surtout aux pays développés en Europe et aux États-Unis où il y a le système de santé le plus moderne du monde nous rappelle que le niveau de danger du COVID-19 n’est pas égal avec les autres grippes saisonnières. Sa propagation est énormément facile, surtout dans les lieux public, donc la santé publique doit contrôler et prévenir des maladies sur le plan de population. De plus, si nous ne respectons pas les consignes de confinement, les autres membres dans notre famille peuvent avoir des risque d’infection ou de décès en lien avec COVID-19. Bref, selon le principe de l'utilitarisme, le bonheur du plus grand nombre est priorité, surtout dans le contexte de la pandémie où la vie de tout le monde est menacé.
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