Greta Thunberg et son discours
Discours : Greta Thunberg et son discours. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar EAZYremy • 26 Janvier 2022 • Discours • 680 Mots (3 Pages) • 471 Vues
Le discours de Greta Thunberg, parlant de l’urgence climatique, est convainquant. Elle nous amène à son sujet par une bonne et mauvaise nouvelle qui attire donc chez nous une once de curiosité. Greta nous annonce le bonne nouvelle en premier, qui n’est pas rassurante, elle ne fait que repousser l’échéance car la mauvaise
nouvelle est que d’ici 2030 « si nous » (elle nous vise) ne faisons rien nous passerons au-delà de la limite « nous ne serons plus en mesure de revenir en arrière. Elle vise les politiques,les journalistes et les chefs d’entreprises à ne pas croire en ce que disent les scientifiques et plus particulièrement les enfants qui sont vue comme des alarmistes. Greta montre son agacement par des mots comme « opinion », elle fait des gestes pour marquer ceux-ci, elle répond à ces critiques par un argument d’autorité en expliquant avec un rapport reconnu et des chiffres réels. Ces chiffres sont évoqués tout d’abord par des scientifiques, qui parfois sont optimistes sur les chiffres. Greta critique le fait que ni les politiques, ni les journalistes et ni un chef d’entreprise n’évoquaient ces chiffres. Elle nous prend par les émotions et par un argument de valeur en nous disant que « l’avenir de notre civilisation » repose sur nos connaissances sur l’urgence climatique, elle nous regarde et nous pose une question « est ce que on est suffisamment mure pour comprendre et accepter le rapport ? ». Elle nous remet en cause, nous impose une remise en question. Greta utilise un argument ad hominem en disant que c’est nous qui laissons la charge aux enfants de parler de ces urgences climatiques, les enfants passent pour les méchants qui doivent parler de ce sujet désagréable car personne d’autres ne veux le faire. Par ce qu’elle ose s’exprimer sur ce sujet, elle nous dit que les jeunes qui parlent de ce sujet subissent de la haine, elle va encourager les chefs d’entreprises à donner de l’argent pour permettre de rester en dessous des 1,5 % d’augmentation de température. Elle nous pose des questions, nous interpelle si il n’y avait pas un accord secret pour ne pas comprendre l’aspect de justice ? Elle réutilise un argument d’autorité avec ces chiffres « fondé sur la science » . Greta nous remontre un coté dramatique en disant que dans « 12 ans nos réserves de dioxyde de carbone seront épuisées si nous ne faisons rien », par l’insouciance médiatique sur les chiffres, les gens ignore ce qui se passe. Elle utilise un argument logique « si nous savions tous se qui se passe, cela permettrait de sauver de nombreuses vies humaines ». Nous devons tous contribuer à l’amélioration et ne pas laisser seuls les médias et les politiciens trouver la solution, elle répète « si vous comprenez » elle s’exprime une nouvelle fois à nous et nous remet en question « que faites-vous ? » encourager les leaders politiques à parler de l’urgence climatique est primordiale, c’est ce qu’a réalisé Greta et maintenant certains leaders dévoilent et parlent de cette urgence à la population, ce qui est positif. Le plus gros danger est que les entreprises et les politiciens font semblant d’agir, pour nous faire comprendre et nous rendre compte du temps qu’il nous reste. Elle nous dit que depuis qu’elle a commencé à nous parler, déjà 800 000 tonnes de CO2 ont disparu, ce qui nous aide à mieux comprendre à quelle vitesse nos réserves s’écoulent. Pour tous ceux qui trouvent des excuses, elle nous repose une deuxième fois les mêmes questions « est ce qu’il existerait un accord secret de Paris ?» ou encore « aurez-vous un budget permettant de rester en dessous de 1,5 % d’augmentation de température ?». Elle nous regarde avec un sourire moqueur et dénonce ceux qui n’ont pas voulu assister à cette réunion et nous dit que « nous ne sommes pas des enfants après tout », elle nargue cette critique faite sur les enfants qui osent s’exprimer. Pour conclure, elle va nous encourager à nous unir et à donner notre confiance aux scientifiques.
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