Explication partielle d’un texte philosophique.
Commentaire de texte : Explication partielle d’un texte philosophique.. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar yousstkt • 7 Mars 2018 • Commentaire de texte • 1 053 Mots (5 Pages) • 699 Vues
Devoir maison numéro 1.
Explication partielle d’un texte philosophique.
Questions :
- 1/ Le thème de ce texte philosophique est ‘’le sens du bonheur’’, entre autres, ‘’le sens de la vie’’. Ce texte comporte plusieurs enjeux, ce que l’auteur a cherché à faire est de nous démontrer que pour que la vie soit bien vécue il faut tester les bonnes et les mauvaises expériences, que la vie toute faite sans faire aucun effort n’a pas de sens, et n’a aucun gout, et que pour finir, la vie n’est donc pas une destination mais un trajet sans fin. La thèse que défend l’auteur est le fait qu’il ne faut pas rester passif à attendre que le bonheur nous tombe dessus, mais au contraire tout faire pour ressentir du bonheur tout au long de nos vie.
Ce texte contient quatre parties dont les contenues se complète petit à petit, d’abord l’auteur parle du fait qu’il est bon d’avoir un peu de mal à vivre pour ensuite profiter du bonheur, que le bonheur est plus présent dans notre imagination que dans les biens réels que nous possédons, que l’Homme qui ne fait rien n’aime rien et enfin, que l’Homme est attiré par les choses difficile où l’on doit travailler dur pour pouvoir l’obtenir.
Les problématiques correspondant au problème philosophique que le texte cherche à résoudre est : ‘’ Devons-nous attendre le bonheur de façon passif ou devons-nous nous activer pour le vivre ? ’’ et ‘’Le bonheur est-il une destination ? ‘’
2/ ‘’Il est bon d’avoir un peu de mal à vivre et de ne pas suivre une route toute unie’’, cette phrase est à la fois surprenante car elle est vraie et paradoxale car il oppose le therme ‘’bon’’ et ‘’mal’’ pour but de démontrer qu’avoir un peu de mal à vivre est en quelque sorte un mal pour un bien. Pour illustrer sa thèse, l’auteur nous parle de la vie que mènent les rois et les dieux, qui n’ont qu’à désirer quelque chose pour l’avoir, ils pensent donc qu’ils doivent être un peu ‘’neurasthéniques’’ ce qui signifie la perte de joie de vivre. L’auteur nous démontre également dans son texte que pour ressentir du bonheur nous devons faire face à quelques inquiétudes, passions et « une pointe de douleur qui nous éveille à nous même. » Comme il le dit si bien « L’Homme qui ne fait rien n’aime rien », si nous passons le restant de nos vies à attendre que le bonheur se montre sans faire le moindre effort ni s’en donner la peine, on ne le verra jamais et deviendrons neurasthéniques comme ces rois et ces Dieux.
3/ Selon l’auteur, l’existence des rois et des Dieux n’est pas enviable car ce sont des exemples de ce que l’auteur nous invite à ne pas suivre et ne pas envier en nous démontrant qu’au final ils ne sont pas heureux même en ayant tout ce qu’ils désirent. Ils n’éprouvent ni la faim, ni la soif etc… mais s’ennuient certainement de leur vie parce que le bonheur est tout fin prêt pour eux, ils ne peuvent éprouver ni douleur, ni peine, ni tensions dans leur vie. La vie est faite de noir et de blanc et c’est ce qui lui donne tout son sens, alors que les Dieux et les rois ont une vie faite que de blanc, donc aucune contrainte, de défis et de gout de réussite, comme l’a dit l’auteur au début de son texte « il est bon d’avoir un peu de mal à vivre ». D’après Alain, les Dieux ont dû se « pendre » ou ils « dormaient comme la belle au bois dormait ».
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