Etre libre serait-ce être heureux?
Fiche : Etre libre serait-ce être heureux?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Lalitteraire46 • 11 Mars 2017 • Fiche • 1 073 Mots (5 Pages) • 956 Vues
Exemple de dissertation sur la liberté et le bonheur.
Support : Etre libre serait-ce être heureux ?
En effet, la question se pose car un peu d’observation suffit à remarquer que l’état de bonheur est complexe.
Il mélange à la fois plusieurs éléments, l’affecte et le rationnel.
Rationnellement: je suis parfaitement conscient de mon état de liberté et choisit par moi-même de ne pas être enchaîné à ce qui la limiterais. C’est ce que fait Jean Valjean dans Les Misérables en choisissant d’abandonner son statut et sa fortune afin de trouver la liberté.
Toutefois, dans certaines conditions, être libre c’est être heureux. C’est l’exemple que nous donne ces journalistes de France 2 qui ont pu retrouver le bonheur lorsqu’ils furent libérés après plusieurs mois de détention.
Alors qu’elle seraient les conditions pour être heureux ? Le problème de la question est celui de savoir si la liberté est l’élément essentiel pour être heureux.
Qu’est ce que la liberté / d’être libre ? En quoi ma liberté fait-elle ma joie ? Qu’est ce qu’être heureux ?
Exemple de plan:
I- Qu’entend-on par - être libre
- être heureux
- serait-ce (il pose la question sur la condition d’être heureux)
II- Que se passe t-il quand je suis heureux ?
III- La raison influe t-elle sur le bonheur ?
II- Une simple observation peut nous faire remarquer que quand je suis heureux, je suis comme touché par un sentiment intérieur de paisibilité, mon âme semble comme absente de trouble ou même encore si quelque chose de négatif la touche, par exemple; quelqu’un ce matin m’a agacé ou j’ai failli rater mon train et bien cette impression reste lointaine, noyé par ce sentiment de bien-être.
Je sais que je suis heureux.
Ma vie à ce niveau repose sir cet état, ce sentiment qui dure sans pour autant que je me mette à rire en permanence, à sauter comme pour la joie.
Le bonheur c’est cet état indéfini dans le temps qui vacille mais reste stable sur une période.
Ce que l’on peut observer c’est qu’ici, le bonheur est un sentiment, ce n’est pas un ratio, un élément issu de la pensée calculatrice. En effet, cette chose qui me rend heureux n’est pas forcément strictement rationnel parfois même ça tourne à l’absurde.
Ma vie repose sur des choses simples, je reste à regarder un film de basse qualité mais qui m’amuse, je me contente de choses simples, je prend un café dans un lieu habité de gens de tous les jours. Certains diraient qu’il n’y a rien d’exaltant dedans et pourtant je suis heureux.
Ce qui me donne ce bien-être ne le donnerai pas à un autre, de même que si l’on devrait calculer avec exactitude ce que produit ce bien-être, on y trouverais rien de définitif, rien d’assuré, ce qui au départ produisait en moi cet état, peu très bien, après peu de temps m’ennuyer, me lasser.
Toutefois, la raison peut-elle permettre l’émergence du bonheur ?
III- Nous venons de voir dans le moment qui précède que finalement le bonheur reposait un pur affecte.
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