Comment peut-on affirmer l'existence des vérités alors que nos connaissance sont elles même limitées par la subjectivité de nos sens et donc par de l'expérience de notre vision de la réalité?
Commentaire de texte : Comment peut-on affirmer l'existence des vérités alors que nos connaissance sont elles même limitées par la subjectivité de nos sens et donc par de l'expérience de notre vision de la réalité?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar LBRlouise • 24 Janvier 2017 • Commentaire de texte • 1 123 Mots (5 Pages) • 1 201 Vues
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Références du devoir Indicatif : 061138276 Matière : Philosophie Code de la matière : PH00 N° du devoir : Devoir 1 |
Nom du professeur correcteur : NOTE : Observations générales du correcteur : |
Gottfired Leibniz, se penche dans ce passage au problème de la contribution des sens, sur le rôle que jouent nos experiences sensible, dans l'aquisition de connaissaice. Leibniz, philosophe du XVII siècle écrit Nouveaux essais sur l'entendement humain en 1765.
Cette extrait induit le problème suivant: comment peut-on affirmer l'existence des vérités alors que nos connaisance sont elles même limités par la subjectivité de nos sens et donc par de l'experience de notre vision de la réalité?
Selon la thèse exposée par Leibniz, les sens seraient loin d'être suffisants puisqu'ils n'apportent que des vérités particulières et non des vérités générales et nécessaires. Sa thèse s'oppose donc à celle des empiriste qui affirme que l'experience sensible est la source de toute les connaissances.
Cet extrait peut être étudié en trois grande parties constituées des trois phrases principal du texte.
La première grande idée écrite de Leibniz est, on cite : “Les sens quoique nécessaire pour toutes nos connaisance actuelles, en sont pas suffisants pour nous les donner toutes, puisque les sens en donnes jamais que des exemple c'est-à-dire des vérités particulières ou individuelles.” Le philosophe évoque “les sens” qui font ici références aux diverses fonctions de la sensibilité telles que l'ouïe ou la vue. Il admet leur intervention nécessaire dans l'élaboration de nos “connaissance actuelles” c'est-à-dire celles qui demandent un effort de l'esprit, une reflexion et non qui nous viennent à l'esprit sans avoir besoin de réfléchir. Mais, il affirme qu'il ces sens en sont pas suffisants pour atteindre toutes les connaisances car il affirment que des “vérites particulières”, des exemples. En effet, l'information prise au cours de l'experience sensible d'un seul et unique objet n'est valable que pour cette objet, cette information est un exemple bien particulier.
Par la suite, l'auteur continue son résonnement en écrivant: “Or tous les exemples qui confirment une vérité générale, de quelque nombre qu'ils soint, en suffisent pas pour établir la nécéssité universelle de cette même vérité, car il en suit point que ce qui est arrivé et arrivera de même.” La première partie de la phrase: “Or tous les exemples qui confirment une vérité générale, de quelque nombre qu'ils soient, en suffisent pas pour établir la nécessité universelle de cette même vérité [...]” confirme bien que l'experience sensible n'apporte que des exemples qui même en très grand nombre ne suffiront pas à prouver que l'élaboration d'une vérité universelle est nécessaire, c'est-à-dire une vérité qui ne peut pas ne pas être, qui ne dépend pas des circonstances ou des exemple, qui est dont valable dans tous les cas. En fait, il est impossible d'appliquer un exemple à autre chose que ce qu'il concerne. Une accumulation d'exemples n’amènera guère autre connaissance que ce qu'il concerne. Donc, avec plusieurs exemples, on ne pourrai obtenir autre connaissance que celle de la probabilité d'un événement qui pourrait être amener à se reproduire.
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