Comment le concept est-il attribué et utilisé par les êtres vivants ?

Philosophie : Explication de texte

Introduction :

Le concept peut se définir comme un contenu de pensée, la faculté de pouvoir représenter une chose concrète ou abstraite. Les philosophes modernes désignent le concept par le terme d’« idée » ou de « représentation » de l'esprit. Le concept est un terme abstrait qui se distingue donc de la chose désignée par ce concept. Ce texte est un extrait de l’ouvrage : la pensée et le mouvant, 2ème partie de Bergson, qui nous explique sa façon de penser sur l’attribution et l’utilisation du concept par les êtres vivants, dans le texte. L’aptitude est attribuée universellement, mais sous quelle forme est-elle attribuée, comment est répartit le concept, est-ce tout de même un don unique à l’homme, nous allons voir comment Bergson détail son point de vue et comment il désapprouve l’idée que seul l’homme en est capable.

Problématique : Comment le concept est-il attribué et utilisé par les êtres vivants ?

Explication de texte :

Bergson affirme que tout être vivant généralise, on peut lire : « Tout être vivant, peut-être même tout organe, tout tissu d'un être vivant généralise, je veux dire classifie […] », d’après ses propos la classification, la généralisation n’est pas un don unique à un seul être mais bien à chaque être vivant, cette assouvissement est suivi par son instinct primaire auquel les animaux (dont l’homme) se soumettent, tout ce qui n’est pas vital est inutile et donc négliger, chaque chose qui nourrit le besoin de l’animal est classer dans une case « utile » et qui lui permet de faire la parité.

Nous avons sûrement pour la plupart tous vécu un sentiment d’automatisme, par exemple je sors du lycée je dois me rendre à mon arrêt de bus pour pouvoir rentrer chez moi, j’ai répété ce chemin des centaines de fois et il est inscrit dans mon subconscient, un jour pendant une réflexion individuel je suis concentré dans mes pensées sur une idée quelconque et durant cette instant je me « déconnecte », puis une fois « reconnecté » je me rend compte que je suis arrivé à mon arrêt de bus sans pour autant réfléchir à l’action de marcher. Et donc j’ai émis une action par instinct, dans ce cas, nous ne sommes pas éloignés des animaux qui eux-mêmes peuvent surement être dans cette phase de « déconnexion » constamment, ou bien peut-être que ces « phases de connexion/déconnexion » n’existe pas, nous sommes sûrement toujours à la guise de notre instinct. L’idée est telle que chaque action qu’un être vivant commet est guidé par sa volonté et son instinct, nous ne pensons pas que nous allons faire quelque chose, nous le faisons. Tout de même l’homme est doué de sa penser et donc sa manière de réagir est différente à animal malgré sa similitude.

Chaque être vivant possède ses propres besoins, et pour nourrir ses besoins l’être vivant doit différencier ce qui est utile pour lui et ce qu’il n’est pas, l’homme par exemple à donner un nom à ces choses qui sont vitale/utile pour lui, mais un animal lui ne donne pas de nom, elle est représentée par un concept, mais c’est aussi le cas de l’homme il ne peut se dire que tel chose est utile ou non pour lui simplement parce qu’il lui à donner un nom avant cela chaque forme d’une chose lui fait ressentir un danger ou un besoin, par exemple un panneau de signalisation sous forme de triangle nous savons que cela représente un danger, ou aussi la couleur rouge, et inversement pour la couleur verte qui elle représente le bien être, l’exemple du logo Mcdo qui avant était de couleur rouge et désormais de couleur verte pour faire ressentir aux personnes un sentiment de sécurité. Si des marques aussi grandes que Mcdo s’attarde sur des couleurs, c’est qu’inconsciemment nous interprétons chaque chose comme étant bien ou mal pour nous et que cela à un réel impact sur nous. Cet exemple fonctionne aussi pour les animaux car chaque être vivant possède sa catégorie « danger » et « besoin/vital etc. ».

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