Le rouge et le noir, Stendhal

Bonjour, je vais vous présenter le chapitre 3 du roman autobiographique Le Bachelier de Jules Valles. Ce chapitre s’appelle : Hotel Lisbonne. Il est situé au tout début du roman et commence véritablement l’histoire de Jacques.

Ce chapitre raconte le, entre guillemets, « début de la carrière » de Jacques Vingtras, personnage principal du roman.

Dans ce chapitre, Jacques Vingtras va essayer de trouver un logement pour lui avec son maigre salaire de 40 francs par moi versé par son père de Nantes. Il n’a pas encore de travail car il vient d’arriver à Paris. Pour cela, Jacques va chercher son vieille amis Matoussaint pour qu’il l’aide et lui donne des conseils sur la vie ici, à Paris. Car selon Vingtras, Matoussaint connaît bien les traditions et coutumes de la vie. Ce chapitre alterne entre la joie de Jacques et son désespoir suite à sa situation précaire.

Au début de ce chapitre, Jacques parvint enfin a trouver son ami ainsi qu’une autre connaissance et la compagne de Matoussaint qui vivent à l’Hotel Lisbonne, un appartement pour les étudiants pauvre et qui à donné son nom au chapitre car c’est pour lui comme un tremplin vers la vie. Lorsque Vingtras revoit pour la première fois son vieille amis, il se dit très ému et le décrit comme un ange. (Lire passage). Surtout peut être car Matoussaint est son dernier et unique espoir de véritablement commencer sa vie. Mais Matoussaint et ses compagnons vivent eux aussi dans la misère et espère que Vingtras a de l’argent pour ne pas qu’il soit un « poids en plus » comme le montre ce passage (lire passage). Dans ce dernier nous constatons bien la misère et la désespérance de ces gens notamment d’Angelina, la compagne de Matoussaint. Toute choses qui pourrait rapporter un peut d’argent est bonne à prendre.

Ensuite, grâce à des amis d’Angelina, il trouve un logement pour la nuit. Ce logement contraste avec la joie de liberté de Jacques. Le narrateur décrit ce logement avec beaucoup d’adjectifs péjoratifs et accentue la déception de Vingtras. (lire passage). Mais cette déception ne va durer que très peut car dès que Vingtras prend possession de son appartement, il exulte ! Il martèle dans sa tête qu’il est chez lui et se retient même de crier. La phrase JE SUIS CHEZ MOI écrite plusieurs fois de rang en majuscules dans le texte accentue ce sentiment. Le lendemain matin, son exaltation n’a pas diminuée et il est toujours aussi heureux que la veille. Tous lui paraît beau et joyeux de la fleur apportée par la petite fille des concierges au verre crasseux dans le quelle il la met. Lorsqu’il sort dans la rue, il dit ne pas savoir l’heure car le bruit de ses rêves et de ses pensées ont couvert le bruit de l’horloge.

Ensuite, il va voir si Truchet qui détient les 40 francs promit par son père est revenus mais il n’en est rien. Vingtras va donc retomber dans la misère car lui et ses compagnons n’ont pas de sous pour se nourrir. Son moral est au plus bas comme le démontre bien ce passage : (lire passage). Enfin, Jacques va toucher ses 40 francs et son moral va remonter en flèche. Mais ces derniers ne vont pas faire long feu face au dépense de Matoussaint et ses compagnons. En dix jours et après s’être bien nourris et être allé au théâtre, ils n’en reste rien et Jacques retombe une nouvelle fois dans la désespérance. (lire passage). Dans cet extrait, nous pouvons bien voir la misère du personnage qui regrette presque d’être partis de chez lui. Ils nous montre cependant qu’il n’en oubli pas son éducation.

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