Le Rouge et Le Noir, Stendhal

Le livre est inspiré d un fait divers:

inspiré par "ANtoine Berthet, âgé de 25 ans, est né d artisans pauvres mais honnêtes, père marechal-ferrant de Brangues.Il est frele de constitution mais a une intelligence superieur à sa position, un gout pour les etudes superieurs, de hautes personnes fondent des espoirs sur lui comme le curé, l’incitent à rentrer dans le seminaire de Grenoble mais est congedié. il decide d ‘acheter des pistolets à Lyon pour tuer Mme Michou en pleine messe" ⇒ immoralité, la vie de Julien est calquée sur celle de cet homme.

Blessé par la lettre où il est vu comme un hypocrite qui entame une ascension sociale en seduisant les femmes, Julien rejette la verité qui lui est insupportable comme le prouve ses justifications: “Hélas! C’est ma seule arme”

Mme de Renal à la fin du roman est confrontée à un dilemme choisir entre julien et son fils qui serait malade en raison de l ‘adultère (punition divine: superstition )

La conscience de ses actes:

Dans ce meme passage l’auteur prévoit deja la reception de l’oeuvre lorsque qu les conséquences des promesses de l’amante qui veut surenchérir sa pénitence avec la volonté d’etre exposée au pilori, ne serait pas non seulement une humiliation de cette-derniere mais aussi un “scandale abominable autour de cette ignominie” entrainant la chute de son mari

A la fin du roman didactique de Stendhal, Julien Sorel est précipité du haut de son succès et retombe au pied de la pyramide sociale.

Cependant comme l’étranger de Camus, il accepte la sa condamnation à mort et ressent pour la première fois un amour sans borne pour son amante . il vit alors l instant present.

La sotte l’idée "d’etre regardé comme un amant subalterne à cause de sa naissance obscuree "

Le coté sentimental du heros reprend le dessus sur le Julien ambitieux et individualiste mais

il ne ressent que qques doutes religieux. Il aura été maitre de lui-meme, de sa vie aussi turpide quelle soit

Il se remet en cause: il aura été malgré lui été dans le meme sens que la société qu il abhorre. Ce n ‘est que lorsqu’il n ‘est plus tributaire de personne qu’il suit ses convictions bonapartistes

La morale de l histoire le bonheur n’est pas possible dans cette societe où règne l’hypocrisie.

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