Ville et développement durable
Cours : Ville et développement durable. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar adele452387 • 26 Septembre 2019 • Cours • 696 Mots (3 Pages) • 571 Vues
Plus d’un humain sur deux vit en ville aujourd’hui. La proportion d’urbain atteint les 75% dans les pays du nord, la situation des pays du Sud est plus hétérogène.
Les caractéristiques de cette urbanisation Les caractéristiques de cette urbanisation croissance sont différentes entre les pays du Nord et les pays du Sud sont différentes : rythmes de croissance, impacts territoriaux… Afin de réduire tous ces impacts et améliorer les conditions de vie urbaine sont mis en œuvre. Définie en 1994 lors de la conférence d’Alborg, la ville durable est une ville qui s’attache à appliquer les différents piller du développement durable. C’est donc une ville viable économiquement et socialement dans le respect de l’environnement. Nous verrons donc quelles sont les possibilités ainsi que les limites de la ville durable actuellement.
Dans un premier temps nous nous intéresserons aux modes durables d’aménagements pensés. Puis dans un second temps nous montrerons que malgré de multiples idées, leurs application prend du temps et rencontre des limites.
- Ville durable possibilités
- Un mode d’organisation basé sur trois piliers : économique, social, écologique.
La ville durable, basée sur le principe du développement durables se doit de respecter trois piliers majeurs : économiques, social et bien sur écologiques. D'un point de vue économique et écologique la création d’écoquartiers, ainsi que des aménagements nouveaux de protection à l’environnement, front d’eau par exemple constituent des solutions viables, elles relancent en effet des activités économiques mais sont pensées de manières intelligentes en limitant l’impact environnemental. D’un point du vue social mais toujours écologique, les municipalités créent par exemple des jardins communautaires, permettant au habitants ne pouvant avoir de jardin privé d’avoir accès à différents légumes. De plus la création de nouvelles villes vertes en périphérie de la ville avec des quota de loyers modérés favorisent la mixité sociale.
- Agir sur les mobilités urbaines.
Dans le monde, on constate que d’une manière générale les problèmes de mobilités se sont accentués. Mais les pays du Sud ont plus de mal, à faire face aux différentes inégalités de transports, le pauvres se déplace à pied, les classes supérieures en automobiles individuelles. A Kuala Lumpur afin d’éviter la paralysie des transports, les autorités misent sur la création de transports en communs, tels que des métro, bus et monorails. Ces investissements lourds, permettraient aux plus pauvres de se déplacer et constitueraient en même temps une alternative à la voiture. Au nord comme au sud l’intermodalités se développe et les transports doux sont favorisés en particulier en Europe du Nord. En fin certaine collectivités mènent des politiques dissuasive à l’égard de l’automobile (péage urbain à Londres).
- L’écoquartier une solution, ou utopie ?
De nombreux écoquartiers apparaissent, il regroupent des construction aux normes hautes qualités environnementales, utilisent des énergies renouvelables. Ces quartier comme le quartier Vauban, situé à fribourg en Allemagne, favorisent par exemple les transports doux grâce des aménagements tels que des voies piétonnes ou de nombreuses pistes cyclables. Les écoquartiers se caractérisent par une densification du bâti : c’est-à-dire que les différentes activités urbaines sont intégrées sur un même site (habitation, commerces, école, centres culturels). Des exemples de villes durables existent aussi au Sud comme la ville de Curitiba au Brésil met aussi en place des projets respectueux des trois piliers du développement durable. Afin d’inciter les habitants les plus pauvres à trier leurs déchets elle organise des échanges de nourriture contre des sacs de déchets triés. Curitiba n’a donc rien à envier au Nord en matière d’innovation.
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